Children and young people with CHD benefit from regular physical activity. Parents are reported as facilitators and barriers to their children’s physical activity. The aim of this study was to explore parental factors, child factors, and their clinical experience on physical activity participation in young people with CHD.

An online questionnaire was co-developed with parents (n = 3) who have children with CHD. The survey was then distributed in the United Kingdom by social media and CHD networks, between October 2021 and February 2022. Data were analysed using mixed methods.

Eighty-three parents/guardians responded (94% mothers). Young people with CHD were 7.3 ± 5.0 years old (range 0–20 years; 53% female) and 84% performed activity. Parental participation in activity (X2(1) = 6.9, P < 0.05) and perceiving activity as important for their child were positively associated with activity (Fisher’s Exact, P < 0.05). Some parents (∼15%) were unsure of the safety of activity, and most (∼70%) were unsure where to access further information about activity. Fifty-two parents (72%) had never received activity advice in clinic, and of the 20 who received advice, 10 said it was inconsistent. Qualitative analysis produced the theme “Knowledge is power and comfort.” Parents described not knowing what activity was appropriate or the impact of it on their child.

Parental participation and attitudes towards activity potentially influence their child’s activity. A large proportion of young people performed activity despite a lack and inconsistency of activity advice offered by CHD clinics. Young people with CHD would benefit from activity advice with their families in clinics.

L’utilisation prolongée et les associations de benzodiazépines (BZD) anxiolytiques et hypnotiques exposent à des risques à court et long terme (dépendance, démence, troubles psychomoteurs…). Selon la Haute Autorité de santé (HAS), il n’y a pas lieu d’associer une BZD et un apparenté (zopiclone ou zolpidem) le soir.

– Évaluer les habitudes de prescription des BZD et de leurs apparentés hypnotiques dans une population de patients suivis en psychiatrie hospitalière.

– Suivre sur 6 années l’évolution de ces pratiques de prescription et l’émergence d’alternatives thérapeutiques aux BZD.

– Établir un parallèle avec les recommandations et les actualités de la littérature au sujet de ces risques pendant cette même période.

L’étude rétrospective a été réalisée au centre hospitalier Henri-Laborit (Poitiers) en sélectionnant les ordonnances informatisées comportant des BZD et/ou apparentés sur une période allant du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2013, par tranche d’une année. Les associations de ces molécules et leurs posologies ont été répertoriées.

L’analyse de 6511 ordonnances a notamment mis en évidence que la prescription de zolpidem ou zopiclone seuls, sans association à une benzodiazépine, est majoritaire (77,5 % des ordonnances en moyenne) jusqu’en 2010. Puis elle diminue fortement (plus que 38 % en 2013) et elle est inférieure à celle de benzodiazépine seule pendant les 3 années suivantes. Parallèlement, le nombre total d’ordonnances dans cet hôpital est en constante augmentation. L’association de benzodiazépine et d’apparentés sur une même ordonnance reste peu courante, dans 2 % des prescriptions en moyenne, mais la prise des deux se situe le soir dans 91 % des cas (69–100 %).

L’étude montre une diminution de prescription d’hypnotiques apparentés aux BZD, allant de pair avec les mises en garde sur leurs effets indésirables et aux actions de l’HAS. Leur association en soirée à des BZD reste présente et une étude prospective auprès des prescripteurs pour connaître leur choix d’alternative thérapeutique est nécessaire.

To document if prescription opioid medications used for pain enhanced or worsened pain syndromes from medical conditions in patients who received a diagnosis of prescription opioid dependence as determined by a diagnosis by DSM-IV criteria. Further, whether detoxification improved or worsened pain perceptions and self reports in patients who chronically administered prescription opioid medications.

Our study consisted of a retrospective sample of patients taken from the Addiction Treatment Unit at St. Lawrence Hospital in Lansing, Michigan. Patients were selected from those who voluntarily sought detoxification from opioid medications in an inpatient setting. Selection criteria for the study consisted of a DSM-IV diagnosis of opioid prescription medication dependence, willingness to undergo medical detoxification, cooperation with self-report scales and abstinence from opioid medications. Study patients were randomly selected from discharges in patient census for the years 2001-2003.

The significant findings were that self reported pain scores improved during the detoxification from admission to discharge, from a mean of 5.5 at admission to mean of 3.4 at discharge (0 is no pain, and 10 is the most pain). The detoxification period extended to an average of 5 days. While oxycodone CR (OxyContin) produced higher levels of self-reported pain at admission and discharge, these patients experienced significant levels of pain reduction as with other opioid medications.

Patients with a DSM-IV diagnosis of prescription opioid dependence reported (self) less pain with detoxification and abstinence from the opioid medications.

La prescription des psychotropes dans l’autisme est une question complexe et non univoque. À l’EPSVE, le constat réalisé par le groupe « EPP les psychotropes dans l’autisme » est qu’il n’y a pas de données sur la symptomatologie, les traitements prescrits et le suivi dans cette population. L’objectif est d’évaluer la mise en route d’un traitement psychotrope chez des patients autistes de 0 à 18 ans et d’encadrer les pratiques des professionnels dans ce domaine par la mise en place d’un protocole de prescription validé.

L’enquête de pratique a servi d’outil d’évaluation et un questionnaire élaboré pour les médecins prescripteurs. Les unités concernées sont les unités qui prennent en charge des patients autistes de 0 à 18 ans. Les structures concernées sont : CMP enfant adolescent, HDJ, CATTP enfant adolescent, UHTP enfant adolescent, UHTP adulte.

Le traitement est justifié par les troubles du comportement, les troubles du sommeil, l’angoisse. Les symptômes sont différents selon les structures. La molécule choisie par ordre s’effectue selon : expérience du clinicien, AMM octroyées dans d’autres pays et/ou données de la recherche, démarche empirique, indications du Vidal. Le bilan avant la mise sous traitement est réalisé dans 85,7 % des cas.

Ce travail va permettre d’encadrer la prescription des psychotropes dans l’autisme par des fiches d’aide à la mise en route du traitement. Il sera complété par l’élaboration de fiches d’information destinées aux familles. Ces fiches seront soumises pour validation à la COMEDIMS ; des actions de communication complèteront ce travail et permettront des échanges croisés entre prescripteurs et professionnels de la pharmacie.

L’introduction de l’agomélatine est peu fréquente au sein de notre établissement, 39 patients sur les 925 patients sous antidépresseurs ont été répertoriés en un an, soit 4,21 %. L’objectif de cette étude était de comprendre pourquoi cet antidépresseur était si peu prescrit.

Une étude rétrospective a été réalisée sur 1 an (du 1/06/2014 au 1/06/2015) pour l’ensemble des services d’hospitalisation de l’établissement. Une analyse des prescriptions d’agomélatine a été effectuée à partir du logiciel Pharma® : posologie, durée, nombre de patients. La cause d’un éventuel arrêt ou d’un relais par une autre molécule a été évaluée à partir des informations recueillies dans les dossiers patients (logiciel Crossway®).

Sur les 39 patients ayant reçu de l’agomélatine, la posologie était de 1 comprimé par jour pour 82 % des patients et 2 comprimés par jour pour les 18 % restant. Seize patients (41 %) ont arrêté le traitement sur cette période, la moyenne de durée de leur traitement était de 25 jours [1–90]. Concernant les causes d’arrêt du traitement, 6 patients (37,5 %) l’ont arrêté à cause d’effets secondaires somatiques (5 pour des troubles hépatiques, 1 pour trouble du sommeil type insomnie), 5 (31,25 %) pour cause d’inefficacité de la molécule dont 3 patients pour lesquels le traitement a été arrêté avant les 15 jours recommandés. Pour 3 patients la cause d’arrêt n’a pas été retrouvée. L’arrêt du traitement a été suivi par la prescription d’un autre antidépresseur sauf pour 2 patients où l’indication n’était plus retrouvée.

Le peu de prescription d’agomélatine peut s’expliquer par une efficacité jugée discutable de la molécule sur les pathologies dépressives nécessitant une hospitalisation mais aussi des effets secondaires hépatiques fréquents imposant une surveillance accrue. L’indication de l’agomélatine pour la pathologie dépressive traitée en hospitalisation est donc « discutée ».

The aim of this study was to assess whether burnout and empathy levels among general practitioners (GPs) might influence prescribing performance assessed using pharmaceutical prescription quality standard indicators.

Cross-sectional descriptive study of 108 GPs from 22 primary care centers in Lleida, Spain, and of centralized data corresponding to 183 600 patients under their care. The study was conducted between May and July 2014.

Burnout and empathy were measured using the Spanish versions of the Maslach Burnout Inventory and the Jefferson Scale for Physician Empathy, and prescribing quality was measured using the Catalan Pharmaceutical Prescription Quality Standard (EQPF). Normal distribution of scores was verified using the Chi-square and Kolmogorov–Smirnov–Lilliefors tests. The effect of each of the variables was evaluated using crude odds ratios.

Older GPs scored significantly higher in the EQPF (P < 0.05). High empathy scores were positively associated with high EQPF scores. GPs with low burnout also performed better in the EQPF.

More empathic, less burned-out, older GPs showed better prescribing performance according to quality indicators. However, further studies are needed to evaluate other factors influencing prescribing habits. The promotion of communication skills may increase empathy and reduce burnout, thus benefiting patients.

The physical and social environments that surround children should support good health. However, challenges with food security and access prevent many children from consuming a healthy diet, which is critical to proper growth and development. The present study sought to gain a better understanding of primary care initiatives to address these issues in a low-income setting.

Following the relocation of a paediatric clinic to a farmers’ market building and the implementation of a fruit and vegetable prescription programme, researchers conducted thirty-two semi-structured interviews with caregivers. Researchers elicited caregivers’ perceptions of clinic co-location with the farmers’ market; experiences with the prescription programme; opinions of the farmers’ market; and perceived impact on child consumption of fresh produce. Interview recordings were transcribed for textual analysis. Using thematic analysis, researchers examined qualitative data to identify patterns across transcripts and formulate emerging themes. Researchers concluded when data saturation was reached.

Flint, Michigan, USA.

The majority of participants were female (91 %) and African American (53 %).

Four recurrent themes emerged during interviews: (i) convenience of relocation; (ii) attitude towards prescription programme; (iii) challenges with implementation; and (iv) perceived impact of combined interventions. Caregivers indicated that the co-location and prescription programme increased family shopping at the farmers’ market, improved access to high-quality produce and improved food security.

A fruit and vegetable prescription programme involving a partnership between a farmers’ market and paediatric clinic was perceived as effective in improving food security, food access and child consumption of fresh fruits and vegetables.