La crise économique et particulièrement deux de ses manifestations, la crise de la bourse et la crise des dividendes, qui sont venues après une période de grande prospérité, ont changé la mentalité de l’actionnaire. Déçu par la forte baisse des cours de bourse, souvent aigri aussi par des manœuvres maintes fois dénoncées qui l’ont amené à acquérir au prix fort des titres sans valeur réelle, il a perdu le goût de la spéculation, ou mieux, disons le mot, du jeu; c’est un résultat dont on peut se féliciter.