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Comparaison internationale des taux d’investissement

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Depuis quelque temps, on s’est beaucoup préoccupé en Belgique de la faible croissance de notre produit national brut au cours des années récentes, relativement à l’évolution dans les autres pays européens, et particulièrement chez nos partenaires du Marché commun.

En nous plaçant dans l’hypothèse d’une croissance à taux constant, d’année en année, du produit national brut, le tableau suivant donne les coefficients qui auraient été ceux des différents pays, entre 1950 et 1959. Le calcul a été effectué pour le P.N.B., par tête d’habitant, aux prix du marché, calculé aux prix constants de 1954.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1961 

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Footnotes

(1)

Cet article constitue la version remaniée d’un mémoire présenté pour l’obtention du grade de licencié en sciences économiques.

Nous tenons à remercier ici très vivement M. Jacques DRÌ.ZE sans l’aide éclairée et continue de qui nous n’aurions pu terminer ce travail.

References

(1) Cet article constitue la version remaniée d’un mémoire présenté pour l’obtention du grade de licencié en sciences économiques.

Nous tenons à remercier ici très vivement M. Jacques DRÌ.ZE sans l’aide éclairée et continue de qui nous n’aurions pu terminer ce travail.

(2) Gilbert, M. et Kravis, I., Etude comparative des produits nationaux et du pouvoir d’achat des monnaies, Publié par I'O.E.C.E., Paris, 1955.Google Scholar

(3) Gilbert, M. and Associates, Comparative National Products and Price Levels, Publié par I'O.E.C.E., Paris, 1958.Google Scholar

(4) Gilbert, M. et Kravis, I., op. cit., pp. 15 et 16.Google Scholar

(5) Gilbert, M. and Associates, op. cit., pp. 1920.Google Scholar

(6) Gilbert, M. et Kravis, I., op. cit., pp. 84 et suiv.Google Scholar

(7) Gilbert, M. and Associates, op. cit., p. 37.Google Scholar

(9) Ibidem, p. 40.Google Scholar

(10) Gilbert, M. and Associates, op. cit., pp. 53 et 167. Les chiffres relatifs à l’investissement sont repris au tableau V.Google Scholar

(11) Quatorzième Rapport relatif au problème des investissements, Ministère des Affaires économiques, Bruxelles, 1959.Google Scholar

(12) Cahiers économiques de Bruxelles, n° 1, oct. 1958, tableau VII, p. 34.Google Scholar

(13) Les rapports de prix ne se trouvent pas modifiés en raison de la pondération par les P.N.B., le calcul est donc possible.

(14) Gilbert, Voir M. et Kravis, I., op. cit., pp. 2829 Google Scholar ou Gilbert, M. and Associates, op. cit., p. 24.Google Scholar

(15) Bortkiewicz, L. V., Zweck und Struktur einer Indexzahl. 1, Nordisk Statistik Tidskrift, 1922, p. 376.Google Scholar

(16) Gilbert, M. and Associates, op. cit., § 19, p. 19.Google Scholar

(17) Ibidem, p. 19.Google Scholar

(18) On proposera plus loin une amélioration du mode de calcul des prix européens de Gilbert (voir III, 4, p. 798) laquelle change le mode de répar¬tition supposé. Mais le raisonnement est aisément transposable dans ce cas.

(19) Au moyen de la parité de pouvoir d’achat calculée par la formule de Paasche (voir III, 4, p. 798).

(20) En réalité, les étant des quantités par tête. Qt est une moyenne pondérée par les populations. Nous avons partout négligé les populations pour ne pas alourdir les notations.

(21) On peut retrouver la formule (1.2) en décomposant

(22) Pour que les prix européens, selon Gilbert, ne soient pas modifiés, il faudrait que les prix nationaux ne soient pas des moyennes pondérées par les quantités, comme c’est normalement le cas, mais des moyennes de prix régionaux pondérées par les P.N.B, des régions.

(23) Rappelons que étant une quantité par tête d’habitant, doit être multiplié par la population avant sommation. On a négligé les populations pour ne pas alourdir les notations.

(24) proche et non égal, parce que diverses causes légères d’imprécision sont introduites dans les calculs:

a) Les prix européens de 1950 sont calculés pour 8 pays. Nos extrapolations n’ont porté que sur 6 (négligeant Norvège et Danemark);

b) I’indice européen des prix n’est pas un indice de prix européens;

c) II j n’est pas un rapport de prix Pj/P pur, mais un rapport de prix pondérés par des quantités:

(25) Par Europe, on entend toujours les 6 pays étudiés.

(26) Voir Cahiers économiques de Bruxelles, n° 1, oct. 1958, graphique p. 103.Google Scholar