page 338 note 1. Bavas : au-dessus du col du Chambon, route de Privas aux Ollières. — Cf. Hist. de Privas, t. I, p. 240.

page 338 note 2. Et non Igon ( De La Roque, Armoriai de Languedoc, t. I, p. 42).

page 338 note 3. Akch. Ardèche, Insinuations du bailliage de Villeneuve-de-Berg, 15 B I, f° 79.

page 338 note 4. Garnier notaire, Minutier privadois, reg. 37, f°s 18 v°-21.

page 338 note 5. 1653 (Crespin notaire, f °s 88 et 116). Veuve peu après, elle teste en fév. 1654 (M., f° 320 v°).

page 338 note 6. Le nom d'Aubussargues (entre Remoulins et Aies) passerait à leur habitation près de Chomérac ? — Cheyssanes est proche de Chomérac. Gédéon a construit et commande le fort protestant de Barry (dominant, du Coiron, la vallée de Barrés) ; il le démolit en fév. 1623 ; et sa mort en 1628 est sans faiblesse (Hist. de Privas, II-l, p. 33, n° 2).

page 338 note 7. Dans la famille de Glo, qui possède Glo (Saint-Jean-Chambre), Besse, Lhorme et Vaugeron (Sffliac), Catherine, fllle de noble Etienne de Glo, Seigneur de Lhorme et de Suzanne de Mercure, sera en 1745, à vingt-deux ans, la vaillante compagne du pasteur Pierre Peirot.

page 338 note 8. Expression habituelle pour désigner ceux que les édits draconiens de 1664 ont obligés à; s'exiler de Privas. Cf. Hist. de Privas, t. II-l, p. 175-187.

page 338 note 9. Laurens notaire, reg. 201, f° 16.

page 338 note 10. Hist. de Privas, p. 204-207.

page 339 note 1. Ibid., p. 224-226.

page 339 note 2. Entrevaux : château à 4 kilomètres de Privas, où Richelieu s'installa pendant le siège de 1629.

page 339 note 3 et 4. États des gentilshommes nouveaux convertis, 1686 et 1711, dans Arnaud, HisL des Protest, du Vivar. et du Velag, t. Il, p. 392, 395. — Le 7 juin 1692, il assiste et signe à l'abjuration de 6 N. C. de Boucharnoux (Saint-Michel). — « Deux flis et trois filles » ? Nous avons noté, de 1686 à 1701, huit naissances, mais avec longues lacunes (1689-1694, 1697-1700, et après 1701).

page 339 note 5. Hist. de Privas, p. 235-236.

page 339 note 6. Paroissiaux cathol., 3 juin 1729. En 1740, flis de « concubinaires J.

page 339 note 7. Marie-Catherine (1739), Marie-Charlotte (1741), Anne-Marie (1742), même un fils, Marie-Charles-Coesar (1743), Marie-Elisabeth (1744), Marie-Augustine (1747), Marie-Louise- Madeleine (1751).

page 339 note 8. Sainte notaire, reg. 281, f° 161.

page 340 note 1. Et non Gérard, baron de Monfoy, comme on l'écrit d'ordinaire. Anne-Marie signe «Badel Baron de Monfoy ».

page 340 note 2. Hist. de Privas, t. I, Topographie, p. 198-9.

page 340 note 3. Élu le 6 avril 1789 deuxième suppléant du Tiers État de la Sénéchaussée de Villeneuve- de-Berg, il est en l'an IV président du Directoire du Département. Malgré ces marques d'estime, en l'an VIII sa maison est vendue par autorité de justice à J.-E. Regard, 15 0001., sans que cela désintéresse les nombreux créanciers qui le poursuivent. Il habite à ce moment Chuscan (Gard) avec sa deuxième femme, Jeanne-Henriette Crottat.

page 340 note 4. Marie-Augustine semble être entrée dans les ordres, peut-être à Saint-Joseph à Privas, quoique nous n'y trouvions pas son nom ; mais c'est là qu'elle signe une procuration au nom de sa mère. Elle vend tous ses droits d'héritage passés et futurs à ses quatre soeurs célibataires(3 000 1. moins un sol) ; Anne-Marie et Baron lui serviront une pension viagère de 300 1. (3 août 1784).

page 341 note 1. Marie-Catherine est morte en messidor an II. — Cf. l'Inventaire (vêtements) dans Hist. de Priv., Vie quotidienne.

page 341 note 2. «Procès Badel-Riou. Réplique en audience… » (Viret, Valence, in-4°, 25 p. ; s. d. : mais il cite le 1 “ vendémiaire an IX, 23 septembre 1800.)

page 341 note 3. En décembre 1805, Charlotte, Elisabeth et Magdeleine testent, chacune en faveur des deux autres.