In Nathalie Sarraute's Ici (1995), the textual voice is attacked for using ‘on’ instead of ‘je’, and masculine agreements instead of feminine. That voice, in characteristic Sarrautean fashion, justifies its practice with the words: ‘N'est-on pas tous pareils?’, explaining that ‘C'est pour faire participer, pour mettre tout le monde “dans le coup”’. At the level of the tropisms, those movements at the very edge of consciousness which Sarraute has made the foundation and substance of all her writing, we are, she claims, all alike: ‘sur un plan précis, à un niveau égale-ment précis, nous nous ressemblons tous’, irrespective of sex, creed or colour. Sarraute's interest is attached to
ce qui est propre à tous, à quelque chose qui me paraît exister absolument chez tout le monde, qui n'est pas propre aux femmes, pas propre aux hommes, pas propre aux Noirs, aux Blancs, aux Jaunes … J'essaie de saisir quelque chose qui me parait d'ordre général.