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Université Catholique de Louvain Institut de Sciences Économiques Centre de Recherches Économiques 2b rue E. Van Even - Louvain - Belgique

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Abstract

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Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1968 

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References

Références

Les données statistiques non définitives sont imprimées en caractères italiques.Google Scholar
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1. i : D’après l’Annuaire statistique; comprend les élèves des enseignements moyens et secondaires du degré supérieur, des enseignements normals, techniques et supérieurs et similaires inscrits au début de l’année.Google Scholar
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col. 1 à 3 : Indices calculés par l‘I. R. E. S.P. : moyenne simple de 6 indices de prix de métaux et de 11 indices de prix de produits d'origine agricole relevés sur les marchés les plus sensibles du monde et exprimés en dollars. Base, 1953 = 100. Pour l'interprétation cfr Bull, n» 6, 3 sept. 1952, p. 553.Google Scholar
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col. 5 à 28 : Indices calculés par l‘I.R.E.S.P. sur des prix relevés entre le 1er et le 10 du mois. La méthode d'établissement et la composition sont décrites dans le Bulletin de juin 1956, p. 423 et suivantes.Google Scholar
col. 29 à 32 : Source : Service de l'index du Ministère des Affaires économiques.Google Scholar
col. 33 à 40 : Le salaire-coût est établi en ajoutant les charges sociales légales incombant à l‘employeur (sécurité sociale et assurances) aux gains horaires des ouvriers qui comprennent déjà les rétributions de certaines heures non prestées mais obligatoirement payées. L‘appointement-coût s‘obtient en ajoutant les charges sociales patronales (sécurité sociale, assurances, vacances) à l‘appointe-ment brut. Le calcul de l‘appointement horaire est basé sur une prestation théorique moyenne de 45 heures par semaine jusqu’en 1958, puis ce nombre d’heures a décliné progressivement pour atteindre 43 à partir de 1962. Le salaire social se calcule en ajoutant les avantages pécuniaires alloués par la sécurité sociale à un salaire mensuel théorique net, c’est-à-dire gain horaire multiplié par le nombre moyen normal d’heures de travail d’un mois et diminué des charges sociales retenues. Les charges fiscales ne sont pas soustraites.Google Scholar
col. 41 à 48 : Calculés à l‘I.R.E.S.P., d‘après le Bull, de Statistique, cours au 1er du mois jusqu’en 1957, au 10 du mois à partir de 1958. La composition des différents groupes est donnée dans «Éléments du diagnostic». L‘indice global comptant comprend l‘ensemble des actions belges, congolaises et étrangères.Google Scholar
col. 49 à 51, et 53 et 54 : Source B.N.B.Google Scholar
col. 52 : Calcul I.R.E.S.P. Google Scholar
col. 55 : Calcul I.R.E.S.P. le 15 du mois.Google Scholar
col. 56 : Calcul I. R. E. S. P. ; 1° Sociétés à bilan au 31 décembre: le taux est le dividende net rapporté au cours du 1 « avril suivant la date du bilan. Ce taux est inscrit au mois de juin. 2° Sociétés à bilan entre avril et octobre : le taux est le dividende net rapporté au cours du 1er octobre. Ce taux est inscrit au mois de décembre. Voir «Eléments du diagnostic» p. 221.Google Scholar
col. 57 à 59 : Établi par l’I.R.E.S.P. en fin de mois et comprend : pour la monnaie fiduciaire : les billets de la B.N.B., la monnaie divisionnaire et d’appoint; pour la monnaie scripturale : les comptes courants libres à la B.N.B.; les dépôts libres à 30 jours au plus et sur carnets dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des comptables de l'État aux chèques postaux, moins les avoirs de la B.N.B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en compte courant à la B. N. B. et aux chèques postaux des banques privées.Google Scholar
col. 60 et 61 : Établi par l’I.R.E.S.P.Google Scholar
col. 62 à 67 : D’après la B.N.B., dernière situation du mois.Google Scholar
col. 68 :Établi par l’I.R.E.S.P. Représente les avoirs nets de la B.N.B. pouvant servir aux paiements à l'étranger.Google Scholar
col. 69 à 74 : D’après le Moniteur belge. Le taux de trésorerie est le rapport du poste de l’actif : encaisse, avoirs en compte à la B. N. B. et chèques postaux aux comptes courants à 30 jours au plus.Google Scholar
col. 75 : Source : B.N.B. Établi sur un échantillonnage représentant environ 80% du total des dépôts à vue; voir Bull. B.N.B., XXV™e année, Vol. II, N° 4, p. 222.Google Scholar
col. 76 : Source : Office des chèques postaux.Google Scholar
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col. 78 : D’après la B.N.B., voir bilan intégré des organismes monétaires.Google Scholar
col. 79 : Calcul I.R.E.S.P. : Somme des dépôts à plus de 30 jours et carnets de dépôts des banques, des dépôts à la C.G.E.R. et des dépôts dans les caisses d’épargne privées.Google Scholar
col. 80 à 86 : D’après le Bull. B.N.B. et le Bull. Statistique.Google Scholar
col. 87 à 92 : Établis par l’I.R.E.S.P.; moyennes de cotations hebdomadaires.Google Scholar
col. 93 et 94 : D’après le Moniteur belge. Les impôts directs comprennent : la contribution foncière, les taxes mobilières et professionnelles, l’impôt complémentaire personnel, la contribution nationale de crise, la taxe exceptionnelle de redres-sement financier, la taxe sur le droit de chasse et pêche, les recettes diverses des contributions directes, les droits de succession et la taxe sur les associations sans buts lucratifs. Tous les autres impôts et taxes sont classés dans les impôts indirects.Google Scholar
col. 95 à 104 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 105 et 106 : Calcul I.R.E.S.P. Le degré d’emploi est le pourcentage chômage complet soustrait de 100. Le degré de travail est le pourcentage de chômage complet et partiel soustrait de 100. Les pourcentages de chômage sont les rapports en pour cent du nombre de chômeurs au nombre d’assurés contre le chômage. Les pourcentages publiés concernent les ouvriers seuls.Google Scholar
col. 107 : Calcul I.R.E.S.P. Comprend les ouvriers occupés dans les industries soumises à l’obligation d’un recensement mensuel. Les branches d’industries fortement concentrées (entre autres les charbonnages et la sidérurgie) sont représentées dans leur entièreté. Par contre d’autres branches ne sont représentées que par les entreprises comptant 5 ouvriers et plus ou 10 ouvriers et plus. En fin de compte sur un total de 1.308 mille ouvriers assurés à l’O.N.S.S. en 1953, 1.005 mille sont recensés dans les indices. Voir le Bulletin de juin 1956, p. 435.Google Scholar
col. 108 et 109 : D’après l’Office national de l’Emploi. Indice, 1953 = 100 de la moyenne mobile de 3 mois des offres d’emploi reçues des employeurs et des offres non satisfaites; V.S. éliminées.Google Scholar
col. 110 à 115 : Les données brutes sont communiquées par l’Office national de l’Emploi. La méthode de calcul des variations saisonnières est décrite dans le Bulletin de juin 1956, p. 435.Google Scholar
col. 116 ; D’après l’Administration des Mines du Ministère des Affaires économiques.Google Scholar
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col. 118 : Ensemble des jours du mois ou de l’année moins les dimanches et jours fériés légaux.Google Scholar
col. 119 à 156 : Calcul de l’I.R.E.S.P. (cfr Recherches Economiques de Louvain, Annexe Statistique 1967, n° 2, p. 234). Indices, base 1961 = 100, de production de groupes de produits pondérés par leurs valeurs ajoutées brutes.Google Scholar
col. 157 : D’après le Bull, de Stat. de la C.E.C.A.Google Scholar
col. 158 et 159 : D’après le Bull, de Stat.Google Scholar
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col. 162 à 167 : Calcul I.R.E.S.P. Les indices de transport et de manutention sont calculés par mois d’égale longueur et pondérés par la valeur ajoutée de chaque branche de transport. Les indices ont pour base 1953 = 100 et les valeurs ajoutées sont celles de la même année.Google Scholar
col. 168 : Source : Administration du Port d’Anvers.Google Scholar
col. 169 : Calculé par l’I.R.E.S.P. en divisant le montant des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses taxes. Les données publiées sont les indices 1953 = 100 par mois d'égale longueur.Google Scholar
col. 170 : Indices pondérés des ventes au détail des grands organismes : grands magasins, coopératives, entreprises de commerce à succursales et ventes en libre service de petites et moyennes entreprises. Base 1961 = 100, V.S. éliminées.Google Scholar
col. 171 : D’après le Bull, de l’I.N.S.Google Scholar
col. 172 et 173 : D’après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l’Union économique belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
col. 174 à 185 : Indices du volume du commerce extérieur et des valeurs unitaires calculés par l’I.R.E.S.P.Google Scholar
Les indices de volumes, base 1961, sont des sommes de quantités (poids) pondérés par leurs valeurs unitaires en 1961 et rapportés aux mêmes produits de l’année 1961. Ce sont donc des indices selon la formule de Laspeyres. Les indices de valeurs unitaires moyennes sont calculés selon la formule de Paasche. Les indices comprennent plus de 400 rubriques couvrant environ 90% de la valeur du commerce extérieur — Pour description plus détaillée, cfr Service mensuel de conjoncture de Louvain, «Statistiques» juillet et septembre 196?.Google Scholar
col. 186 à 189: Calcul I.R.E.S.P.Google Scholar
col. 190 à 194: Calcul I.R.E.S.P. L’indice du coût-rémunération par unité produite est le rapport de l’indice du salaire-coût horaire (source : F.I.B. et nos indices) à l’indice de productivité horaire du personnel dans l’industrie manufacturière. Si l’indice des appointements-coût ne diffère pas beaucoup de l’indice du salaire-coût ce rapport peut également s’appeler indice du coût-salaire et appointement par unité produite.Google Scholar