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1. On the Indications of Molecular Action in the Telephone

Published online by Cambridge University Press:  15 September 2014

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The accepted theory of the telephone represents that the vibrations of the sending plate to and from the pole of the magnet before which it is fixed is the origin of the currents generated in the pole bobbin of wire, and that these currents transmitted to the receiving telephone produce corresponding to-and-fro excursions of its plate. This theory, which is that of the inventor, may be shortly designated, in the happy words of Sir William Thomson for a kindred action, the push-and-pull theory. We have had in this session of the Society two communications of a practical nature, which seem directly confirmatory of this view.

Type
Proceedings 1877-78
Copyright
Copyright © Royal Society of Edinburgh 1878

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References

page 616 note * Something like this was suggested by Professor Forbes.

page 628 note * His words are :—“Quant au son lui-même, je ne peux pas mieux en donner une idée, qu'en le comparant à celui qu'on produit avec la roue de Savart. C'est une suite de bruits résultants du choc des particules métalliques les unes contre les autres, beaucoup plus qu'un son musical. On entend aussi, il est vrai, des sons musicaux. Ce sont les harmoniques du son que rendrait la tige ou le fil par l'effet des vibrations transversales; ils proviennent du mouvement vibratoire qu'éprouve le métal, mais ne sont pas un effet direct de l'influence électrique à laquelle il est soumis. On peut en effet, les faire disparaître en touchant avec la main le corps vibrant, sansque pour cela disparaisse le bruit fundamental.”—“Le son que rend un fil de fer bien recuit quand il transmet le courant est un son très fort, qui ressemble beaucoup au son des cloches d'église dans le lointain. On pourrait peut-être l'employer avec avantage dans les télégraphes électriques.”—“Le ton du son varie avec la vitesse avec laquelle les courants discontinus se succèdent; quand cette succession est très rapide, le son ressemble beaucoup au bruit que fait le vent lorsqu'il souffle fortement.”— Comp. Rend., 1845.

page 629 note * This was distinctly heard in the auditorium of the Society when the paper was read.