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Relationships between gregarine infection in damselflies, wetland type, and landscape characteristics
Published online by Cambridge University Press: 07 September 2012
Abstract
Although human-modified landscapes are characterized by the loss of natural habitats, new habitats also can be created and exploited by many species. The importance of landscape change to invertebrate associations (particularly host-parasite associations) is understudied. Our objective was to determine whether prevalence and intensity of gregarine parasitism in the damselfly Ischnura verticalis (Say) (Odonata: Coenagrionidae) differed between 17 artificial and 7 natural wetlands in landscapes that varied in amount of forest and wetland cover and road density determined at spatial extents of 500m and 1km from each wetland. Wetlands were located in and around Ottawa, Ontario, and Gatineau, Quebec, Canada. Wetland type did not account for significant variation in principal components based on forest and wetland cover and road density at either spatial extent. Gregarine prevalence was higher in damselflies collected from natural wetlands than in those collected from artificial wetlands and was positively associated with increasing forest cover. In contrast, gregarine intensity was inversely related to road density. Our results suggest that parasitism of damselflies by gregarines is associated with wetland type and landscape characteristics, although the mechanisms producing such relationships are unknown.
Résumé
Bien que les paysages modifiés par les humains se caractérisent par la perte d'habitats naturels, il peut aussi s'y créer de nouveaux habitats qui sont exploités par de nombreuses espèces. L'importance des changements de paysage pour les associations d'espèces (particulièrement les associations hôtes-parasites) est peu étudiée. Nous examinons si la prévalence et l'intensité du parasitisme de la demoiselle Ischnura verticalis (Say) (Odonata : Coenagrionidae) par les grégarines diffèrent entre 17 terres humides artificielles et 7 naturelles dans des paysages qui varient par leur couverture de forêts et de terres humides et par la densité des routes à des distances de 500 m et 1 km de chaque terre humide. Les terres humides se situent à Ottawa, Ontario, et à Gatineau, Québec, et les environs. Le type de terre humide n'explique pas la variation significative des composantes principales basées sur la couverte de forêts et de terres humides et la densité de routes aux deux échelles spatiales. La prévalence des grégarines est plus élevée chez les demoiselles prélevées dans les terres humides naturelles que chez celles provenant des terres humides artificielles et il existe une association positive avec l'augmentation de la couverture forestière. En revanche, il y a une relation inverse entre l'intensité des grégarines et la densité des routes. Nos résultats laissent croire que le parasitisme des demoiselles par les grégarines est associé au type de terre humide et aux caractéristiques du paysage, bien que les mécanismes responsables de ces associations restent inconnus.
[Traduit par la Rédaction]
- Type
- Research Article
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 2011
References
- 8
- Cited by