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L'Écho de la Fabrique

Published online by Cambridge University Press:  18 December 2008

Abstract

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Index of Communications
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Copyright © Internationaal Instituut voor Sociale Geschiedenis 1937

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References

Page 167 note 1) Cour, des Pairs. Affaire du mois d'avril 1834. Réquisitoires. Paris, 1836, p. 13.Google Scholar

Page 167 note 2) Echo de la Fabrique, 1 avril 1832.

Page 167 note 3) Et dans le même format du prospectus: in 4°, 21 × 27 cm.

Page 167 note 4) Depuis le 8 avril 1832. Les N08 19—23 portaient comme sous-titre: Journal industriel et littéraire de Lyon et du département du Rhône.

Page 168 note 1) Les quelques journaux-ouvriers qui parurent à Paris, comme le Journal des Ouvriers, l'Artisan, le Peuple, eurent tous une vie trés courte. Parus au mois de septembre 1831, ils finirent leur existence avant la fin de d´ecembre de la méme année.

Page 168 note 2) Falconnet donna sa démission comme gérant, lorsqu'il fut nommé prud'homme. Le 13 mai 1832 il fut remplacé comme gérant par le rédacteur Vidal, qui mourut bientôt, et à qui succéda le mutuelliste Berger. Le rédacteur Marius Chastaign, qui avait exercé une grande influence sur le journal, quitta la rédaction lorsque Bernard devint géant, et fonda en octobre 1833 un autre journal: l'Écho des travailleurs. Voir Écho de la Fabrique, 9 sept. 1832 et, en général, l'excellente étude d'Octave Festy: Le Mouvement ouvrier au début de la Monarchic de Juillet (1830—1834). Paris, 1908.

Page 168 note 3) La société secréte des mutuellistes, organisation des chefs d'atelier, institué pour le secours réciproque, qui se développait en une société de résistance, fut fondée le 28 juin 1828. Cette organisation ne devenait importante qu'aprés les événements de novembre. Le Rapport fait à la Cour des Pairs par Girod de l'Ain (Voir notamment t.I, p. 171 et seq. et les annexes) reste le document essentiel. Voir entre autres Jean Alazard: Le Mouvement politique et social à Lyon entre les deux insurrections de novembre 1831 et d'avril 1834. [Revue d'histoire moderne et contemporaine, t. XVI, p. 41.]

Page 168 note 4) Voir, Henri Sée, La Vie économique de la France sous la Monarchic censitaire (1815–1848) Paris, 1927, p. 119 et Festy, op. cit., p. 25, 329, 330.Google Scholar

Page 168 note 5) Monfalcon, J. B., Histoire des insurrections de Lyon, en 1831 et en 1834, Lyon et Paris, 06 1834, p. 150.Google Scholar

Page 168 note 6) Écho de la Fabrique, 27 mai 1832.

Page 169 note 1) Le „fabricaat” ne fabriquait rien du tout, était simplement un capitaiiste, un négociant qui donnait la commande et fournissait la matiére premiére au chef d'atelier. Celui-ci n'était, malgré son nom, qu'un maîtreouvrier, posséant deux ou plusieurs (maximum huit) métiers à tisser sur lesquels il travaillait avec sa famille et des ouvriers („compagnons”), travaillant chez lui et qui recevaient, en général, comme salaire la moitié de la somme payée par les fabriquants aux chefs d'atelier pour une piéce de l'étoffe fabriquée. On comptait environ 8000 chefs d'atelier contre 30000 compagnons. Voir entre autres L. Levy-Schneider, Le gouvernement insurrectionnel de l'Hôtel de Ville en novembre 1831. [Revue d'Histoire de Lyon, t. IX, 1910, p. 170.].

Page 169 note 2) Voir. Echo de la Fabrique, 21 avril 1833, 12 mai 1833, 9 février 1834 et 23 février 1834.

Page 170 note 1) Ėcho de la Fabrique, 7 avril 1833.

Page 170 note 2) On trouve fr´equetnment dans l'Ėcho les termes „oisifs” et „travailleurs”, distinction faite par Saint-Simon. It n'est pas étonnant que, étant donné les circonstances dans la fabrique lyonnaise, ces termes furent facilement adoptés.

Page 170 note 3) Écho de la Fabrique, 9 février 1834. „De la nécessité pour tous les travail leurs de se rallier aux associations.”

Page 171 note 1) Écho de la Fabrique, 6 avril 1834.

Page 171 note 2) L'Écho de la Fabrique da 2 février avait publié une information relative à un „projet de suspension générate du travail en Angleterre”.

Page 171 note 3) Cité chez Alazard, l. c. p. 298.

Page 171 note 4) Toutes les années de l'Écho de la Fabrique se trouvent à la Bibliothéque de la Ville de Lyon. L'Institut International d'llistoire Sociale enposséde également presque tous les numéros, sauf quelques-uns dont on a cependant les photocopies.