Je reconnais de bonne grâce avoir déformé, sans le vouloir, la pensée de Guy Bois en confondant productivité du travail (pp. 311-314) et productivité de la terre (pp. 186-189). En ce qui concerne sa contre-critique, je tiens à préciser : 1. dans la citation qu'il a faite de la conclusion de mon compte rendu (p. 6), il conviendrait de remettre les mots « des crises de subsistances »; 2. à propos de mon étude sur la contraction monétaire au xve siècle, les années 1390 ne marquent pas le commencement du déclin du monnayage d'or et d'argent, mais bien le début d'une véritable crise de liquidités dont l'effondrement des frappes est à la fois le signe et la conséquence;