Hostname: page-component-5c6d5d7d68-7tdvq Total loading time: 0 Render date: 2024-08-21T07:30:53.138Z Has data issue: false hasContentIssue false

La prospection archéologique en Grèce et dans le monde méditerranéen

Published online by Cambridge University Press:  26 July 2017

Anthony M. Snodgrass*
Affiliation:
The Muséum of Classical Archaeology, Cambridge

Extract

« Surface remains are just that—the junk you find on the surface—and nothing more. And I say, screw them.

Le mot « document », en français comme en anglais, implique un certain jugement de valeur : les données fournies par un document sont prises au sérieux et renvoient à une question qui présente, pour nous, une certaine importance. Le sceptique qui rejette les témoignages sur l'atterrissage des soucoupes volantes aux États-Unis n'utilisera pas le mot « document » dans ce contexte, sinon ironiquement. De même, il se trouve des historiens ou des classicistes qui n'acceptent pas l'idée que l'archéologie fournisse des « documents » ou de la « documentation » quelle qu'elle soit, du moins si les inscriptions sont exclues (et elles doivent l'être) de la définition que l'on donne de l'archéologie. Ces historiens, toutefois, ne devraient pas être nombreux parmi les lecteurs des Annales pour lesquels les traces matérielles de l'activité humaine ont un poids dans l'histoire de leur période, et quelque utilité pour compléter, rectifier, voire même remettre en cause les sources écrites.

Summary

Summary

It is assumed, by many archaeologists and by virtually ail non-archaeologists, that excavation is the only form of primary field work open to the subject; indeed, for many laymen, excavation is archaeology. It is argued in this paper, first, that some of the unsatisfactory character of archaeological evidence, when applied to other studies, in fact arises from its dependence on excavation; and secondly, that there is an alternative technique available, in the form of archaeological survey, which can complement excavation and which is free of some of its faults. The paper seeks to make a case for intensive survey as the optimal method, and describes the main characteristics of this method. The difficult problems of sampling are also discussed. Finally, the paper enumerates some of the criticisms most of ten made of intensive survey, and attempts to answer some of them while conceding the validity of others.

Type
Nouvelles Archives
Copyright
Copyright © Copyright © École des hautes études en sciences sociales Paris 1983

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References

Notes

1. «The “ Real Mesoamerican Archaeologist “ », cité dans K. V. FLAnnery Éd., The Eurly Mesoamerican Village, 1976, p. 51.

2. R. Hope Simpson, « The limitations of surface surveys », communication présentée au colloque d'Athènes (juin 1981), organisé par Donald R. Keller et David W. Rupp pour le compte de l'American School of Classical Studies et du Canadian Archaeological Institute, sous le titre Archaeological Surveying in the Mediterranean Area. Les actes sont en cours de publication. Je suis très reconnaissant à David Rupp de m'avoir donné un jeu complet des communications et des articles supplémentaires.

3. Plog, S., Plog, F. et Wait, W., « Décision making in modem surveys », Advances in Archaeological Melhods and Theory, Schiffer, M. B. Éd., New York, Académie Press, 1978, pp. 383 421 CrossRefGoogle Scholar, citations extraites des pages 403, 405, 407.

4. Schiffer, M. B., Sullivan, T. A. et Klinger, T. C., « The design of archaeological surveys », World Archaeology, 10, 1978, pp. 128.CrossRefGoogle Scholar

5. J. B. Rutter, « Some thoughts on the analysis of ceramic data generated by site surveys », communication présentée au colloque d'Athènes. Cf. n. 2 ci-dessus.