page 379 note 1. Fasc. CCCIV de la Bibliothèque de l'Ecole des Hautes-Etudes, Paris, Champion, 1955, in-8», 195 p.

page 379 note 2. Fasc. CCLIII.

page 379 note 3. Nouvelle Revue historique de Droit français et étranger, 1925, p . 1-60 et 177-192.

page 379 note 4. Revue historique, 1935 ; — Journal des Savants, 1946.

page 379 note 5. La capitation du Bas-Empire, Mâcon, 1945.

page 379 note 6. Seston, W., Dioctétien et la Tétrarchie, t. I, Paris, 1946.Google Scholar

page 380 note 1. Publié par A.E.R. BOAK, Etudes de Papyrologie, 1933.

page 380 note 2. Année épigraphique, 1937, p. 232.

page 380 note 3. Sur les liens entre la jugatio-capitatio romaine et le harag-gizya sassanide institué par Chosroès, le souverain perse contemporain de Dioclétien, voir en dernier lieu Altheim, F. et Stiehl, R., Finanzgeschichte der Spâtantike, Francfort-sur-le-Main, 1957, p. 41–43.Google Scholar

page 380 note 4. En particulier ceux de W. SESTON dans la Revue des Etudes Latines, XXXIV, 1956, p. 395-398, d’E. Demougeot dans la Revue des Etudes Anciennes, LIX, 1957, p . 190-201 et de W. Enssjlin dans Hislorische Zeitschrilt, Clxxxiv, 1957, p . 99-102.

page 380 note 5. « Le problème de l'or au IV^e siècle », Annales d'Histoire sociale, 1945, I, p . 47-53.

page 381 note 1. Emptus a collectario doit donc être traduit « acheté au changeur, et non pas « acheté par le changeur ». Ainsi l'a bien compris Clyde PHARR dans sa récente traduction anglaise du Code Théodosien, Princeton, 1952, p. 530.

page 381 note 2. Ces deux textes ont été largement discutés. Parmi l'abondante bibliographie, voir en particulier : Mommsen, dans Berichte liber die Verhandlungen der kgl. sàchsischen Gesellschaft der Wissensch., phil.-hist. Cl., III, 1851, p. 302-305 ; — F. Martroye, dans Bull, de la Soc. nat. des Anliqu. de France, 1928, p . 167-168 ; — G. Mickwitz, Geld und Wirtschaft im rômischen Reich des IVten Jahrh. n. Chr., Helsingfors, 1932, p. 88 et n. 34 ; — E. Condubachi, « Le prix de l'or au début du V siècle », dans Revue Histor. du Sud-Est européen, XIX, 2e p., 1942, p. 419-422 ; — A. Piganiol, dans Annales d'Hist. Soc, 1945, I, p. 48-49 et L'Empire chrétien, Paris, 1947, p. 295 ; — S., Mazzarino, Aspetti sociali del quarto secolo, Rome, 1951, p . 193 Google Scholar ; —J . P. C. KENT, « Gold coinage in the Later Roman Empire », dans Éssags in roman coinage presented (o Harold Mattingly, Oxford, 1956, p . 197.

page 382 note 1. Nous avons suggéré, dans Annales, 1950, p. 175-176, que les solidi écoulés par les changeurs devaient provenir de l'arca vinaria, puisque celle-ci fixait en dernier Heu aux collectarii le cours officiel de change. De toute façon, les collectarii se procuraient les solidi au cours du forum rerum venalium pour les revendre au statutum pretium.

page 382 note 2. Annales d'Histoire sociale, 1945, I, p. 29-38.

page 382 note 3. Rome impériale et l'urbanisme dans l'antiquité, Paris, 1951, p. 638 et suiv.

page 383 note 1. Aux 200 000 bénéficiaires de l'annone et aux habitants des domus, il faut ajouter les peregrini, étrangers disposant d'une autorisation de séjour provisoire, dont le nombre doit se situer entre 10 000 et 50 000. Nous n'acceptons pas la conclusion de S. Mazzarino relative à une loi de 367, qui, selon lui, attesterait un total de 320 000 bénéficiaires, de l'annone sous Valentinien Ie r (cf. notre note de la Revue Historique, CCX, 1953, p. 21 et A. Piganiol, dans Journal des Savants, 1955, p. 13-14).

page 383 note 2. Revue Historique, CCX, 1953, p. 18.

page 383 note 3. S. Mazzarino, Aspetti sociali del quarto secolo, p. 228-229. Cf. A. Piganiol, dans Journal des Savants, 1955, p. 13-14. — S. Mazzarino (p. 237) demeure partisan d'une forte population pour la Rome du IV^e siècle : 800 000 à un million d'habitants.