1. Le pliage des cartes et l'absence de numéro au verso ne facilite pas leur identification (petit écueil que nous connaissons par expérience), mais leur indépendance permet de les reclasser, de rapprocher, par exemple les trois cartes religieuses (nos V — Paris —, XVIIJ et XIX), l'ordre de l'original restant significatif : priorité aux lignes de communication, association des Cultes et de la police… Quant à la nomenclature, elle est souvent très élaguée.

2. Un lapsus cartographique supplémentaire substitue « Sées » à Orléans sur la carte des diocèses (PI. XVIII, ibid.,dans le carton laissé au culte « mosaïque », la synagogue consistoriale du Haut-Rhin reste en doublet au N.-W. de Strasbourg, au lieu de Colmar, comme dans l'original).

3. Il vaut la peine de voir dans l'original la carte des départements catalans : une petite carte des Pyrénées dressée « pour le roy » et dont les cartouches aux armes sont soigneusement recouverts de peinture grise.