page 296 note 5. Les origines du papier, de l'imprimerie et de la gravure. Paris, Éditions de La Tournelle, 1935 ; in-8°, 252 p., 80 ill.

page 297 note 1. J. Berthelé, etc., Contribution à l'histoire de la papeterie en France. T. I, Grenoble, Éditions de l'Industrie Papetière, 1933 ; in-8°, 104 p., pl., ; t. II, ibid., 1935 ; 142 p., pl.

page 297 note 2. Non que la date soit impossible « en soi ». Mis à part les papiers de Chine, dont on conserve des spécimens datant du II^e siècle, on connaît à Venise et à Gênes des papiers du XI^e et du XII^e siècle, on en connaît, provenant de l'abbaye de Silos, près de Burgos, du XI^e ou du XII^e siècle ; M^r Nicolaǐ, dans le second des recueils, signale que le livre des privilèges de La Réole, disparu, est donné comme écrit sur papier en 1207 ; et M^r Letonnelier, le savant archiviste de l'Isère, signale de son côté une lettre de Raymond de Narbonne au roi d'Angleterre écrite sur papier entre 1216 et 1222. Mais on ignore la provenance de ce papier : oriental, et rapporté d'Orient par des navires italiens ? ou espagnol et fabriqué dans l'Espagne musulmane ?

page 298 note 1. Dans le second recueil, M^r Nicolaï met à néant l'histoire, ou la légende, de la papeterie de Couze en Périgord, qu'aurait créée, avant 1314, le pape Clément V, alors archevêque de Bordeaux — de qui on aurait pu supposer ensuite une influence sur l'établissement de moulins en Avignon.

page 298 note 2. Et dans tous les domaines. Signalons l'emploi, dans un document de 1660 (ball d'une papeterie ardennaise, du mot usine pour désigner cette « papetterie » (t. II, p. 26).