page 499 note 1. Nguyen van Huyen. Introduction à l'étude de l'habitation sur pilotis dans le Sud- Est de l'Asie iAustro-Asiatica, documents et travaux publiés sous la direction de Jean Przyluski, t. IV). Paris, P. Geuthner, 1934; in-4°, XXIII-222 p., index, 87 fig., plans, 16 pi. phot., 1 pi. tableaux, 1 pi. carte (Thèse Lettres).

page 499 note 2. Parmi ceus-ci, il indique que « hommes, bêtes, richesses, récoltes, tout est sous ie même toit ». Pourtant, chez les Moi, Muong, Indonésiens, il y a très souvent des étables séparées et des greniers à riz écartés des habitations.

page 500 note 1. Voir la p. 208 de la thèse de CH. Robkquain, Le Thanh-hoa (Paris, 1929, 2 vol.). On y trouvera quelques remarques pénétrantes sur ce type d'habitation et ses causes.

page 500 note 2. Au point de vue sociologique, l'étude d'un type de construction comme celui-ci semble bien moins intéressante que celle de la grande maison commune logeant plusieurs familles (Naga, Moi, Dayak, etc.).

page 501 note 1. Sur l'extension inattendue de cette civilisation, voir notamment l'article du Dr P. Rivet, Les Océaniens dans le Journal asiatique, CCXXII, 1933, p. 235-256.

page 501 note 2. Ajouter celle de Boeroe, étrangement isolée dans l'Est de l'Insulinde.

page 501 note 3. L'auteur n'a pas cherché si la case sur pilotis ne dérive pas de palafittes étahlies sur les marais permanents ou temporaires, si nombreux dans l'Asie des Moussons.

page 501 note 4. Peut-être le terrain d'élection, pour ces recherches, serait-il les régions où le milieu naturel appelle le moins ce type d'habitat, par exemple les régions relativement sèches et peu boisées des savanes cambodgiennes et laotiennes, de l'Insulinde orientale.