Il ne peut évidemment être question dans une étude telle que celle-ci de passer en revue toute l’activité agricole du pays au cours de l’année écoulée, mais plus modestement d’essayer d’en dégager une vue d’ensemble et comme à vol d’oiseau. Ceci permettra de se rendre compte de l’évolution des spéculations animales et végétales par rapport aux années antérieures, de l’allure des principaux marchés, de leur adaptation aux conditions économiques générales et des tendances qui se dessinent pour l’avenir. Pour bien situer l’objet même de cette étude, ses limites et son enchaînement, nous avons cru intéressant de donner ci-dessous l’ordre des divers points rencontrés.