Dans cette étude nous nous limitons aux problèmes posés pat l'existence des mulâtres et nous éliminons la discussion de l'opportunité du mélange des races, qui est une toute autre question. On peut déplorer ce mélange ou l'apptouver — d'après les circonstances, d'après ses idèes philosophiques ou ses sentiments, ses préjugés, etc. — mais il est une réalité objective dont on doit tenir compte; il pose un problème auquel il faut chercher une solution. Si la solution de tout problème doit, pour être raisonnable, équitable, viable et utile, se baser sur des principes sûrs et sains, cela est doublement nécessaire quand il s'agit d'un problème gravement complexe et d'une portée sociale considérable comme est celui qui nous occupe ici.