Marie Elisabeth Boll is in 1945 in Norrköping (Zweden) geboren. Haar vader is een Nederlander, haar in 1953 overleden moeder was van geboorte Zweedse. Door haar huwelijk met een Nederlander had de moeder de Nederlandse nationaliteit verworven, maar volgens de toentertijd geldende Zweedse nationaliteitswet van 1924 had zij de Zweedse nationaliteit behouden, daar zij bij de huwelijksvoltrekking in Zweden woonde en daarna was blijven wonen. De moeder bezat dus een dubbele nationaliteit. Het kind, (Marie) Elisabeth, verkreeg met de geboorte alleen de Nederlandse nationaliteit. Ook onder de nieuwe Zweedse wet op de nationaliteit van 1950 zou Elisabeth niet de Zweedse nationaliteit hebben verkregen.

Il est difficile d'être complètement satisfait des résultats de la onzième session de la Commission du Droit International. La cause en doit être imputée notamment aux circonstances spéciales qui rendaient impossible la discussion des points à l'ordre du jour selon le plan établi par la Commission l'année passée. En effet, la Commission s'était proposée d'en terminer avec le projet sur les relations et immunités consulaires en première lecture. Elle aurait attaché du prix à pouvoir soumettre justement ce projet à l'Assemblée générale dans un délai relativement court car il avait apparu qu'il y avait une tendance à joindre la discussion sur le projet déjà soumis relatif aux immunités diplomatiques à celui relatif au droit consulaire. Ainsi, retarder la remise du projet sur le droit consulaire pourrait avoir comme conséquence de remettre également la mise-sur-pied d'une convention sur les immunités diplomatiques. La Commission n'a pu suivre ce plan parce que le rapporteur de ce sujet, le professeur žourek (Tchécoslovaquie) était absent pendant toute la première moitié de la session. Le Gouvernement de Bulgarie l'avait désigné juge ad hoc dans l'affaire de l'incident aérien entre Israël et la Bulgarie portée devant la Cour internationale de Justice à La Haye et les délibérations en cette affaire s'étaient prolongées au delà de toute attente. La Commission se trouvait donc obligée de remettre la discussion de ce sujet jusqu'à la venue de M. Žourek, et le temps qui restait était insuffisant pour en terminer la première lecture. Vu cette situation, la Commission a commencé ses travaux par l'étude du rapport de Sir Gerald Fitzmaurice (Grande-Bretagne), qui avait été élu président de la Commission, et les interrompit au moment de là venue de M. Žourek pour aborder le sujet du droit consulaire.

The question of reservations to multilateral treaties has aroused much interest in recent years since an established procedure seems to tremble or even to collapse. Before the first world war no problem existed. Reservations to treaties were tendered either on or before signature and were permitted only if accepted by all other signatories. Several States made reservations to the Hague Conventions of 1899 and 1907, but none of them protested when the Netherlands Government did not accept them as parties until the other signatories to the conventions had agreed to their reservations. The practice of asking the consent of all the signatories proved workable in an era when multilateral treaties were rare and the attention paid to them was considerable, when furthermore the parties to a treaty had always participated in its drafting.

In the following pages I intend to survey the judgments of the International Court of Justice pronounced in the course of 1959.

Owing to the differing degrees of importance from the legal point of view of the individual cases dealt with, their discussion will necessarily vary in length and thoroughness.

It transpires from the article by Dr. H. W. Baade in the Netherlands International Law Review for April 1959 (p. 174ff.), that a German Court, in determining the law governing succession to the estate of a Dutch citizen domiciled in Germany, has indeed considered as relevant circumstances which indicated a close connection between the deceased and the country in which he was resident (Landgericht Koblenz, 17 July 1958, cited on p. 182 of the above article). I believe it to be of importance therefore to emphasize once again that Netherlands jurisprudence does not tend to apply the lex domicilii as opposed to the national law of the testator, and that one must not gain the contrary impression from the three decisions of Netherlands Courts which Dr. Baade cites.