This paper outlines a new econometric model of Belgium, ANELISE, developed at the Unité d’analyse Economique (ANEC), Institut des Sciences Economiques at the Université Catholique de Louvain during the spring of 1973. This model responds to needs for a simple structural representation of the Belgian economy useful for academic studies, for a short term prediction, and for policy analysis. This is intended as the first stage of a live project which will see evolution of the model as it is tested, improved, and enlarged.

Il y a quelques trente ans, Haavelmo (1943) esquissait quelques-unes des implications statistiques des modèles dits “à équations simultanées”. Depuis lors, ces modèles ont constamment été à l’avant-plan de la recherche économétrique. Le but du présent article est de rappeler certaines des principales difficultés auxquelles se heurtent les économètres à ce niveau et d’exposer pourquoi, à la lumière des résultats présentés dans une récente monographie [Richard (1973)], les méthodes dites bayésiennes nous semblent pouvoir contribuer tout particulièrement à la compréhension de la nature statistique de ces problèmes.

L’étude faite par A.W, PHILLIPS (1954) des différentes formes que peut emprunter une politique de stabilisation ainsi que le modèle à critère quadratique de H. Theil (1964) ont suscité un grand nombre de recherches consacrées à l’application de la théorie du contrôle optimal en politique économique.

Les prix des produits sont considérés comme un élément conditionnant à court terme le niveau des revenus agricoles. Leur modification occasionne cependant à moyen terme une modification de même sens du niveau des coûts de production. L’objet particulier de ce travail est de rechercher leur influence sur le montant des fermages. L’étude portera sur la séquence des relations de causalité par lesquelles une variation des prix des produits agricoles suscite une variation de même sens dans le montant des fermages. Elle doit permettre de déterminer l’intensité finale de la répercussion.

Recent work in the theory of the demand for investment has been characterized by the introduction of adjustment costs. An interesting feature of this analysis is that the flexible accelerator turns out to be a special case of the adjustment cost model when the wage rate, the price of output, and the discount rate remain constant over time. No doubt this has been the source of some comfort for empirical workers in spite of its unrealism.