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Statistiques économiques courantes(1)

Published online by Cambridge University Press:  17 August 2016

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Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1951

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References

RÉFÉRENCES

col. 1 à 24 : Calculé par l’I. R. E. S. entre le 1 et le 10 du mois. Pour la méthode et la composition voir Bull. I.R.E.S., nov. 1949, p. 39. Note sur nos nouveaux indices des prix de gros et (Bull. I.R.E.S., sept. 1950, p. 52). Sources et traitement des données statistiques.Google Scholar
col. 25 : Calculé par l’I. R. E. S. Moyenne arithmétique simple des indices de frets pratiqués aux départs de Gand et Liège dans 7 directions.Google Scholar
col. 26 et 27 : Source : Service de l’index du Ministère des affaires économiques.Google Scholar
col. 28 et 29 : Calculé provisoirement par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 30 : D’après le Bull. B.N.B. Pour établir le salaire moyen utilisé ensuite, dans la confection de l’indice, on divise le montant global dû aux ouvriers d’une entreprise, avant les déductions sociales et fiscales, par le nombre total d’heures prestées. L’indice qui en résulte est dénommé indice des salaires horaires moyens mais pourrait s’appeler indice des gains horaires.Google Scholar
col. 31 à 36 : Etablis par 1’I. R. E. S. en multipliant les indices des salaires bruts par les coefficients de variation par rapport à 1936–1938 des charges et des avantages annexés aux salaires.Google Scholar
col. 37 à 40 : Calculés à l’I.R.E.S. d’après le Bull. B. N. B. jusqu’en 1946, d’après le Bull, de Statistique à partir de 1947, cours au 1er du mois. La composition des différents groupes est donnée dans « Eléments du diagnostic ».Google Scholar
col. 41 à 44 : Calculé par 1’I. R. E. S. Les taux de capitalisation des certificats de trésorerie sont calculés le 15 du mois sur les dernières émissions en prenant la série à remboursement le plus rapproché et en tenant compte des primes de remboursement.Google Scholar
col. 45 : D’après la B. N. B.Google Scholar
col. 46 : Etablipar l’I.R.E.S. en fin de mois et comprend: les billets de la B.N.B.,. la monnaie divisionnaire et d'appoint, les comptes courants libres à la B. N. B., les dépôts libres à 30 jours au plus dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des comptables de l’Etat aux chèques postaux. De ce total sont soustraits : les avoirs de la B.N.B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en compte courant à la B.N.B. et aux chèques postaux des banques privées.Google Scholar
col. 47 et 48 : Etabli par 1’I. R. E. S.Google Scholar
col. 49 à 55 : D’après la B. N. B.Google Scholar
col. 56 : Etabli par l’I. R. E. S. Représente les avoirs nets de la B.N.B. pouvant servir aux paiements à l’étranger.Google Scholar
co. 57 à 61 : D’après le Moniteur belge. On entend par « Trésorerie » le poste de l’actif : Encaisse, avoirs en compte à la B.N.B. et chèques postaux.Google Scholar
col. 62 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 63 : Calculé par 1’I. R. E. S. Représente le rapport des dépôts bancaires à 30 jours au plus aux capitaux compensés par 25 jours.Google Scholar
col. 64 à 66 : Source : Office des chèques postaux.Google Scholar
col. 67 : Calculé par 1’I. R. E. S.Google Scholar
col. 68 à 73 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 74 à 78 : Etablis par l’I. R. E. S. : Moyenne journalière des cotations à Bruxelles exprimée en % de la parité officielle.Google Scholar
col. 79 à 89 : D’après le Bull. B.N.B.Google Scholar
col. 90 à 95 : D’après le Ponds national de soutien des chômeurs.Google Scholar
col. 96 et 97 : Degré d’emploi : Calculé par l’I. R. E. S. La différence entre l’ensemble des journées de travail possibles (effectifs ouvriers X nombre de jours ouvrables du mois) et l’ensemble des journées do chômage est le degré d’occupation effective. En soustrayant des mêmes journées de travail possibles, les journées de chômage des chômeurs complets seuls, on obtient le nombre de journées travaillées par ceux qui sont occupés complètement ou partiellement c’est-à-dire le degré d’emploi, complet ou partiel. Chaque élément du calcul est exprimé en % du nombre de journées de travail possibles.Google Scholar
col. 98 : Calcul de 1Ί. R. E. S.Google Scholar
col. 99 : Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 100 à 103 : D’après la Direction générale des Mines.Google Scholar
col. 104 à 105 : D’après le Bull, de Statistique : la col. 105 donne la distribution publique de gaz jusqu’en 1947 et la distribution totale de gaz à partir de 1948.Google Scholar
col. 106 : Calculé par l’I. R. E. S. L’indice des autorisations de bâtir est pondéré en attribuant le coefficient 1 aux transformations et reconstructions et 2 aux constructions nouvelles.Google Scholar
col. 107 à 127 : Indices de la production industrielle de base de l’I. R. E. S. Indices établis par l’I.R.E.S. Voir Sources et traitement des données statistiques, Bull, de l’I.R.E.S., sept. 1950, p. 54 et Bull, précédents.Google Scholar
col. 128 à 138 : Indices des transports et manutentions de l’I. R. E. S. Indices calculés par la même méthode que celle utilisée pour le calcul de la production industrielle.Google Scholar
col. 139 : Source : S. N. C. F. B.Google Scholar
col. 140 : D’après le Bull. de Statistique.Google Scholar
col. 141 : Source : Administration du Port d’Anvers.Google Scholar
col. 142 à 148 : Indice du volume du commerce extérieur de l’I. R. E. S.établi par 1’I. R. E. S. selon la méthode décrite dans «Éléments du diagnostic » modifiée comme suit à partir du fascicule 4 de 1950.Google Scholar
Les marchandises ne sont plus groupées selon leur courant principal. Ce sont les importations et les exportations brutes ou totales des aliments et des matières brutes qui sont prises en considération pour le calcul des indices, alors qu’antérieurement l’on considérait les courants nets (importations (liminuées des exportations ou inversement selon que le courant traditionnel était principalement importateur ou exportateur).Google Scholar
col. 149 à 151 : D’après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l’Union économique Belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
col. 152 à 155 : Indices des valeurs unitaires moyennes du commerce extérieur établis par l’I. R. E. S. selon la formule de Paasche (base 1936 à 1938) p 1 et p 0 représentent respectivement les valeurs unitaires moyennes de la période actuelle et de la période de base, et q1 les quantités de la période actuelle.Google Scholar