Hostname: page-component-848d4c4894-xm8r8 Total loading time: 0 Render date: 2024-06-28T23:59:41.147Z Has data issue: false hasContentIssue false

La Thèse de L' “Amphictyonie Israélite”

Published online by Cambridge University Press:  10 June 2011

R. de Vaux O.P.
Affiliation:
École Blblique et Archéologique Française Jerusalem, P.O.B. 178

Extract

Il y a plus d'un siècle, H. Ewald avait rassemblé, à propos des douze fils de Jacob, les mentions de douze tribus, peuples ou cités qu'on trouve dans la Bible et dans les littératures grecques et latines, et il avait envisagé la possibilité d'un groupement analogue dès l'époque patriarcale. Plus récemment, le sociologue M. Weber a défini Israël à l'époque des Juges comme une confédération guerrière dont Yahweh garantissait l'ordre social et assurait la prosperity; “Israël“aurait été le nom d'une ligue cultuelle qui avait, peut-être, des rites “amphictyoniques.” Employé pour la première fois, semble-t-il, dans ce contexte, le terme fut repris par A. Alt, qui parla d'une “amphictyonie” de Mambré.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © President and Fellows of Harvard College 1971

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

1 Ewald, H., Geschichte des Volkes Israel, I3 (Göttingen, 1864), 519Google Scholarss.

2 Weber, M., Gesammelte Aufsätze zu Religionssoziologie, III, Das antike Judentum2 (Tübingen, 1923Google Scholar), 9oss. et 98.

3 Alt, A., Der Gott der Väter (Stuttgart, 1929), 59 = Kleine Schriften, I, 55Google Scholar. Après la publication Noth, de M. (cf. la note suivante), Alt a défini les douze tribus comme une ligue sacrée à la maniàre des amphictyonies de Grèce et d'Italie, Die Staatenbildung der Israeliten in Palästina (Leipzig, 1930), 11Google Scholar = Kleine Schriften, II, 8. Ces deux études ont été rééditées Alt, dans A., Grundfragen der Geschichte des Volkes Israel, éd. Herrmann, S. (München, 1970)Google Scholar.

4 Noth, M., Das System der Zwölf Stämme Israels (Stuttgart, 1930Google Scholar); Geschichte Israels6 (Göttingen, 1966), 83–104. On doit souligner que Noth déclare lui-même que sa thèse n'est pas démontrable mathématiquement, mais qu'elle peut être acceptée si elle éclaire l'histoire d'Israël et de ses institutions, Das System …, 59–60. Il s'exprime avec plus de prudence encore dans Geschichte …, 88.

5 Noth, M., Das Amt des “Richters Israels,” dans Festschrift A. Bertholet (Tübingen, 1950), 404–17Google Scholar = Gesammelte Studien zum Alten Testament, II (München, 1969), 7185Google Scholar.

6 Noth, M., Die Gesetze im Pentateuch. Ihre Voraussetzungen und ihr Sinn (Halle, 1940Google Scholar), spéc. 22s = Gesammelte Studien …, I (München, 1957), 42Google Scholars.

7 Noth, M., Überliejerungsgeschichte des Pentateuch (Stuttgart, 1948Google Scholar), spéc. 50ss., 272ss.

8 M. Noth, Geschichte …, toute la première partie.

9 Des exemples sont donnés par Herrmann, S., TLZ 87(1962Google Scholar), col. 565; Fohrer, G., BZAW 115 (1969), 8788Google Scholar. En général, Bright, J., A History of Israel (Philadelphia, 1959), 142–51Google Scholar; Soggin, J. A., When the Judges Ruled (London, 1965Google Scholar), spéc. 20–22, 33–34, 70–73.

10 Orlinsky, H. M., The Tribal System of Israel and Related Groups in the Period of the Judges, dans OrAnt 1(1962), 1120Google Scholar = Studies and Essays in Honor of Abraham A. Neuman (Leiden, 1962), 375–87Google Scholar; de Geus, C. H. J., De Richteren van Israel, dans NTT 20(19651966), 81100Google Scholar; Rahtjen, B. D., Philistine and Hebrew Amphictyonies, dans JNES 24(1965), 100–04Google Scholar; Fohrer, G., Altes Testament — “Amphiktyonie” und “Bund”? dans Studien zur alttestamentlichen Theologie und Geschichte (BZAW 115 [1969]), 84119Google Scholar, paru d'abord dans TLZ 91(1966), col. 801–16, 893–904; Id., Geschichte der israelitischen Religion (Berlin, 1969), 7883Google Scholar; Anderson, G. W., Israel: Amphictyony: ‘AM; ḲĀHĀL; ‘EDĀH, dans Translating and Understanding the Old Testament. Essays in Honor of Herbert G. May (Nashville — New York, 1970), 135–51Google Scholar.

11 Les travaux essentiels restent: F. Cauer, art. Amphiktyonia, dans Pauly-Wissowa, I (1894), col. 1904–35; G. Busolt — H. Swoboda, Griechische Staatskunde (Handb. d. Altertumswiss., IV 1, 1), II3 (1925), 1280–1309. Sur l'amphictyonie pyléo-delphique, qui est la mieux documentée, il n'y a aucune étude d'ensemble depuis celle de H. Bürgel, Die pylaeisch-delphische Amphiktyonie (München, 1877Google Scholar).

12 Harland, J. Penrose, The Calaurian Amphictyony, dans AJA 29(1925), 160–71CrossRefGoogle Scholar.

13 Eschine, Amb. 115.

14 Ziehen, L., art. Paniônia, dans Pauly-Wissowa, XVIII 3 (1949), col. 601–05Google Scholar; Bengtson, H., Griechische Geschichte (Hand. d. Altertumswiss., III 42 [München, 1960Google Scholar]), 56–57; Cook, J. M., The Greeks in Ionia and the East (London, 1962), 34Google Scholar.

15 J. M. Cook, l.c., 26.

16 J. M. Cook, l.c., 30.

17 Bellini, V., Sulla genesi e la struttura delle leghe nell'Italia arcaica, dans RIDA, IIIe série, 7(1960), 273305Google Scholar; 8(1961), 167–227; 11(1964), 95–120.

18 Sur la ligue étrusque, outre le premier article de V. Bellini cité note préc, cf. Pallottino, M., La civilisation étrusque (Paris, 1949), 134–38Google Scholar; Banti, Luisa, Die Welt der Etrusker (Stuttgart, 1960), 130–32Google Scholar; Bloch, R., The Etruscans (London, 1965), 116–17Google Scholar.

19 W. Eisenhut, art. Voltumna, dans Pauly-Wissowa, IX A 1(1961), col. 850–851.

20 Scovazzi, M., L'ordinamento gentilizio dei populi nordici e la prima costituzione di stati territoriali nell'Alto Medio Evo, dans Dalla tribù allo stato (Problemi attuali di scienza e di cultura, Accademia Nazionale dei Lincei [Roma, 1962]), 83121Google Scholar. L'auteur appelle ces féderations des “amphictyonies.”

21 G. Fohrer, BZAW 115 (cité note 10), 92; G. W. Anderson (cité note 10), 144.

22 Hallo, W. W., A Sumerian Amphictyony, dans JCS 14(1960), 8896Google Scholar; Royal Hymns and Mesopotamian Unity, ibid. 17(1963), 112–18.

23 Rahtjen, B. D., Philistine and Hebrew Amphictyonies, dans JNES 24(1965), 100–04Google Scholar.

24 G. Fohrer, BZAW 115, 90–91; et, avec des nuances appréciables, G. W. Anderson, l.c. (note 10), 142 et 150–51.

25 Nous manquons d'un travail récent sur le chiffre 12. Pour l'antiquité classique, on trouvera une abondante documentation réunie par O. Weinreich dans son introduction à l'article Zwölfgötter du Ausführliches Lexikon für griechischen und römischen Mythologie de Roscher, VI (1924–37), spéc. col. 765–72.

26 Cf. Rengstorf, K. H., art. δώδεκα, dans TWNT, II (Stuttgart, 1935), 321–28Google Scholar. Une étude d'Annie Jaubert, Le symbolisme des Douze, doit paraître dans les Mélanges A. Dupont-Sommer annoncés pour 1971.

27 Cf. Ginzberg, L., The Legends of the Jews, VII, Index (Philadelphia, 1938)Google Scholar, s.v. Twelve.

28 Sellin, E., Seit welcher Zeit verehrten die nordisraelitischen Stämme Jahwe? dans Oriental Studies … P. Haupt (Baltimore, 1926), 121–34Google Scholar; déjà Geschichte des israelitisch-jüdischen Volkes, I (Leipzig, 1924), 98ss.

29 M. Noth, Das System …, 65–75; Das Buch Josua (HAT2 [1953]), 139; Geschichte …, 90–91, 96–97.

30 M. Noth, Das System …, 94–97, 116; Geschichte …, 88–94.

31 En particulier Bernhardt, K.-H., Gott und Bild (Berlin, 1956), 134–44Google Scholar; Kraus, H.-J., Gottesdienst in Israel2 (München, 1962), 149209Google Scholar. J. Dus a multiplié les stations de l'arche: avant d'étre fixée à Silo, elle aurait été déplacée tous les sept ans, Der Brauch der Ladewanderung im alten Israel, dans TZ 17(1961), 1–16; Noch zum Brauch der “Ladewanderung,” dans VT 13(1963), 126–32.

32 Spécialement Smend, R., Jahwekrieg und Stämmebund (Göttingen, 1963), 5670Google Scholar; Irwin, W. H., Le sanctuaire central israélite avant l'établissement de la monarchie, dans RB 72(1965), 161–84Google Scholar; Woudstra, M. H., The Ark of the Covenant from Conquest to Kingship (Philadelphia, 1965), 126–33Google Scholar; G. Fohrer, BZAW 115 (cf. note 10), 94–98.

33 Cf. O. Eissfeldt, Gilgal or Shechem ? dans Proclamation and Presence (G. Henton Davies Volume [London, 1970]), 90101Google Scholar.

34 von Rad, G., Das Formgeschichtliche Problem des Hexateuchs (Stuttgart, 1938), 3337Google Scholar = Gesammelte Studien zum Alten Testament (München, 1958), 4448Google Scholar; H.-J. Kraus, Gottesdienst in Israël2, 161–71.

35 Cf. E. Kutsch, art. Feste und Feier, dans RGG 3 II (1958), col. 915–16; G. Fohrer, Geschichte der israelitischen Religion, 56. — Deut. 31: 9–13, que l'on invoque à ce propos, present une lecture de la loi tous les sept ans à l'année de rémission; la fête des Tentes est seulement l'occasion de cette lecture et Sichem n'est pas nommé. C'est à la fête des Semaines et non à celle des Tentes que le Judaïsme a rattaché la commémoraison de l'alliance.

36 M. Noth, Geschichte …, 91.

37 Besters, A., Le sanctuaire central dans Jud., xix-xxi, dans ETL 41 (1965), 2041Google Scholar. On ne peut pas accepter l'hypothese de J. Dus, Bethel und Mispa in Jdc. 19–21 und Jdc. 10–12, dans Or Ant 3(1964), 227–43Google Scholar, d'après laquelle Béthel était alors le sanctuaire central et Mispa a été introduit secondairement dans le récit. Selon le même auteur, l'objet cultuel de ce sanctuaire central de Béthel n'aurait pas été l'arche, mais une image de taureau, Ein richterzeitliches Stierbildheiligtum zu Bethel ? dans ZAW 77(1965), 268–86Google Scholar.

38 Eissfeldt, O., Der geschichtliche Hintergrund der Erzählung von Gibeas Schandtat, dans Festschrift G. Beer (Stuttgart, 1935), 1940Google Scholar = Kleine Schriften, II, 64–80, et cf. ci-dessous p. 435.

39 M. Noth, Geschichte …, 91–92, s'inspirant de A. Alt, Die Wallfahrt von Sichem nach Bethel, dans In piam memoriam A. von Bulmerincq (Riga, 1938), 218–30Google Scholar = Kleine Schriften, I, 79–88.

40 Soggin, J. A., Zwei umstrittene Stellen aus dem Überlieferungskreis um Schechem, dans ZAW 73(1961), 7887Google Scholar.

41 R. Smend, Jahwekrieg … (cité note 10), 69.

42 M. Noth, Geschichte …, 92; surtout H.-J. Kraus, Gottesdienst in Israel2, 179–93.

43 Le nom lui-même n'apparaît que deux fois, dans les introductions, Jug. 2:1 et 3:19, et seulement comme un repèere géographique.

44 Cf. Soggin, J. A., Gilgal, Passah und Landnahme, dans Volume du Congrès. Genève (SVT XV [1966]), 263–77Google Scholar, spéc. 269; Fr. Langlamet, Gilgal et le récit de la traversée du Jourdain (Cahiers de la Revue Biblique, 11 [1969]), 16–17, 121–22.

45 Albright, W. F., Archaeology and the Religion of Israel2 (Baltimore, 1946), 103–05Google Scholar; Id., Archaeology, Historical Analogy and Early Biblical Tradition (Baton Rouge, 1966), 5556Google Scholar; Nielsen, E., Shechem. A Traditio-Historical Investigation (Copenhagen, 1955), 36Google Scholar, n.i: M. H. Woudstra (cité note 32), 126–28 et 133.

46 W. H. Irwin (cité note 32), 176–78.

47 Ceci est nié par Haran, M., Shilo, and Jerusalem, , dans JBL 81(1962), 1424Google Scholar, pour lequel le sanctuaire de Silo était un “tabernacle,” qui aurait servi de modèle à la description sacerdotale de l'Exode. Il fait trop confiance aux textes tardifs qui vont être discutés et il est obligé de rejeter les textes que nous venons de citer et Jér. 7:12–14. L'affirmation de la prophétie de Natān, 2 Sam. 7:6–7, qui lui sert d'argument, s'explique autrement: le prophète s'oppose à la construction d'un temple de type cananéen mais il n'ignorait pas qu'il y avait eu une “maison de Yahweh” à Silo ni que l'arche avait séjourné dans la maison d'Abinadab à Qiryat-Ye'arîm, 1 Sam. 7:1, puis dans la maison d'Obed-Édom, 2 Sam. 6:10–12; cf. Weiser, A., Die Tempelbaukrise unter David, dans ZAW 77(1965), 153–68Google Scholar, spéc. 158–159; de Vaux, R., Jérusalem et les prophètes, dans RB 73(1965), 481509Google Scholar, spéc. 486–87.

48 La mention de Silo dans Jug. 21:12 est une glose de la même époque.

49 Cody, A., A History of Old Testament Priesthood (Rome, 1969), 6572Google Scholar.

50 W. H. Irwin (cité note 32); A. Besters (cité note 37).

51 Haran, M., Zebah hayyamîm, dans VT 19(1969), 1122Google Scholar.

52 Maier, Ainsi J., Das altisraelitische Ladeheiligtum (BZAW 93 [1965]), 58Google Scholar; G. Fohrer, BZAW 115 (cf. note 10), 97–98.

53 J. Dus fait cependant l'hypothèse invraisemblable, dans Or Ant 3(1964) (cité note 37), spéc. 236–42, que l'arche avait été dèposée à Miṣpa pendant la judicature de Jephté: les indications de Jug. 10:17; 11:11b et 34 se rapporteraient à Miṣpa de Benjamin et non pas à Mispa de Galaad, comme Jug. 11:29.

54 Wellhausen, J., Reste arabischen Heidentums2 (Berlin, 1897), 8494Google Scholar; il emploie lui-même, à propos de La Mecque, p. 85, le terme d'“amphictyons,” ce qui est abusif; Lammens, H., Les sanctuaires préislamites dans l'Arabie occidental, dans MUSJ 11(1926), 36173Google Scholar, spéc. 154ss.; Gaudefroy-Demombynes, M., Mahomet (Paris, 1957), 3435Google Scholar.

55 Campbell, E. F.Wright, G. E., Tribal League Shrines in Amman and Shechem, dans BibArch 32(1969), 104–16Google Scholar.

56 Franken, H. J., Excavations at Deir ‘Allā. Season 1964, dans VT 14(1964), 417–22Google Scholar, spéc. 419 et 422.

57 M. Noth, Das System …, 151–62; Geschichte …, 95; J. Bright, A History of Israel, 144.

58 van der Ploeg, J., Les chefs du peuple d'Israël et leurs titres, dans RB 57 (1950), 4061Google Scholar, spéc. 47–54; Speiser, E. A., Background and Function of the Biblical Naśi’, dans CBQ 25(1963), III–17, reproduit dans ses Oriental and Biblical Studies (Philadelphia, 1967), 113–22Google Scholar.

59 Cf. Zimmerli, W., Ezechiel (BKAT [1969]), 915–18Google Scholar; 1227–30; 1244–46.

60 Mais le texte est composite d'après M. Noth, Das System …, 155; Das Vierte Buck Mose. Numeri (ATD [1966]), 107.

61 E. A. Speiser, CBQ, l.c. (note 58), 117–18.

62 Cette remarque est faite par H. M. Orlinsky, l.c. (note 10), 14, n.7; cf. G. W. Anderson, l.c. (note 10), 147.

63 Cette désignation vient Jepsen, d'A., Untersuchungen zum Bundesbuch (BWANT, III 5, [Stuttgart, 1927]), 8790Google Scholar.

64 Noth, M., Das System …, 97–100; Die Gesetze im Pentateuch (Halle, 1940)Google Scholar, spéc. 22–29 = Gesammelte Studien …, I, 42–53; Das Amt des “Richters Israels,” dans Festschrift A. Bertholet (Tübingen, 1950), 404–17 = Gesammelte Studien …, II, 71–85; Alt, A., Die Ursprung des israelitischen Rechts (Leipzig, 1934), 3033 = Kleine Schriften …, I, 300–02Google Scholar.

65 M. Noth, Das System …, 97–98.

66 G. W. Anderson, l.c. (note 10), 148.

67 M. Noth, Geschichte …, 98.

68 M. Noth lui-même en était conscient, Geschichte …, 99 en bas.

69 Cf. ci-dessus, p. 418.

70 Cité p. 418.

71 M. Noth, Das System …, 100–06, 168–70; la citation est à la p. 170; Geschichte …, 100–01.

72 von Rad, G., Der Heilige Krieg im alten Israel (Zürich, 1951), 2526Google Scholar; cf. la critique Nielsen, d'E., La Guerre considérée comme une religion et la Religion comme une guerre, dans ST 15(1961), 100, et R. Smend (cité note 76)Google Scholar.

73 G. von Rad, l.c. (note précédente), 26, n. 43.

74 Dus, J., Die altisraelitische amphyktyonische Poesie, dans ZAW 75(1963), 4547Google Scholar.

75 M. Noth reconnaît en particulier le caractère de guerre sainte à la bataille du Qishon, Geschichte …, 139, mais il ne l'utilise pas pour sa théorie amphictyonique parce que la liste des tribus dans le Cantique de Débora ne correspond pas à son “systéme des Douze Tribus,” Das System …, 5–6, 36.

76 Smend, R., Jahwekrieg und Stämmebund (Göttingen, 1963), 1032Google Scholar.

77 Eissfeldt, O., Der geschichtliche Hintergrund der Erzählung von Gibeas Schandtat, dans Festschrift G. Beer (Stuttgart, 1935), 1940 = Kleine Schriften, II, 64–80Google Scholar, spéc, la critique de M. Noth, 68.

78 K. Mohlenbrink y voyait un conflit entre deux “amphictyonies,” l'une de Silo, l'autre de Gilgal, ZAW 56(1938), 246–50Google Scholar.

79 M. Noth, Das Buck Josua (HAT2 [1953]), 133.