Hostname: page-component-848d4c4894-mwx4w Total loading time: 0 Render date: 2024-06-29T03:18:10.237Z Has data issue: false hasContentIssue false

Contribution historique à une sociologie de la politique: II. Théologie et politique*

Published online by Cambridge University Press:  28 July 2009

Get access

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Notes Critiques
Copyright
Copyright © Archives Européenes de Sociology 1969

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

(1) Freund, J., Contribution historique à une sociologie de la politique: I. Guerre civile et absolutisme, Archives européennes de sociologie, IX (1968), 307322.CrossRefGoogle Scholar

(2) Noue, La, Discours politiques et militaires, p. 38.Google Scholar

(3) Pasquier, , Écrits Politiqutes, p. 131.Google Scholar

(4) Ibid. pp. 107, 118, 132.

(5) Noue, La, op. cit. p. 17.Google Scholar

(6) Castellion, , Conseil à la France désolée, pp. 24, 27, 48.Google Scholar

(7) Pasquier, , op. cit. p. 85.Google Scholar

(8) Noue, La, op. cit. pp. 124125.Google Scholar

(9) Castellion, , op. cit. p. 51.Google Scholar

(10) Pasquier, , op. cit. p. 47.Google Scholar

(11) Castellion, , op. cit. p. 53.Google Scholar

(12) C'est le thème du premier discours de La Noue. Aux chercheurs qui s'occupent de savoir à quelle époque on a commencé par utiliser le terme de nation dans un sens spécifiquement politique, je signale que Fénelon ne fut pas le premier à lui donner une signification politique, car La Noue l'utilise à plusieurs reprises dans cette acception, en particulier aux pages 18, 41 et 42.

(13) Pasquier, , op. cit. p. 73.Google Scholar

(14) Ibid. p. 301.

(15) Op. cit. p. 307.

(16) Ibid. p. 66.

(17) Noue, La, op. cit. p. 46.Google Scholar

(18) Ibid. p. 51.

(19) Pasquier, , op. cit. p. 132.Google Scholar

(20) Ibid. p. 102.

(21) Ibid. p. 101.

(22) Ibid. p. 116.

(23) Op. cit. p. 118.

(24) Ibid. p. 133

(25) Ibid. p. 150.

(26) Ibid. p. 208.

(27) Il n'est pas possible d'entrer ici dans le détail de toutes les affinités que Winters trouve entre le calvinisme et la pensée politique d'Althusius. Indiquons simplement les principales: l'importance du Décalogue comme loi fondamentale, l'explication de l'inégalité parmi les hommes par la prédestination qui fait qu'en vertu des grâces de Dieu certains êtres sont plus aptes à la direction politique que d'autres (y compris l'élection particulière de certaines communautés politiques), la caractéristique de la communauté comme peuple de Dieu.

(28) Winters, P. J., Die «Politik» des Johannes Althusius, p. 248.Google Scholar

(29) L'association de ces divers noms n'affirme pas que chacun des deux groupes forme une famille d'esprits.

(30) Il y a cependant une différence: les monarchomaques protestants étaient davanrage partisans d'une démocratie dans le sens médiéval du maintien des trois ordres et les monarchomaques catholiques d'une démocratie plus moderne, par suppression des pouvoirs intermédiaires et affirmation de la primauté de la volonté populaire.