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Questions d'histoire agraire.

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Abstract

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Type
Questions d'histoire agraire (Notes et Comptes Rendus)
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1951

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References

page 105 note 1. La Revue des Etudes Napoléoniennes avait, en 1913, déjà publié un article de P. Marmottaie;, Un projet de Code rural sous le Premier Empire (1913, t. I, p. 327-345).

page 105 note 2. « La lutte pour l'individualisme agraire dans la France du Premier Empire », Annales de Bourgogne, t. XXII, 1950 (fasc. 2, avril-juin), p. 81-102. — “Voir, quoique assez superficiels, — description statique, — les articles de Roger Berland, L'élevage et les industries dérivées dans la Vienne sous le Consulat et l'Empire et Les cultures et la vie paysanne de la Vienne à l'époque napoléonienne. Cio” de recherche et de public, des docum. relatifs à la vie écon. de la Révolution. Mém. et Doc., t. VI (1935), p. 251-278 et t. VII (1937), p. 193-251.

page 105 note 3. La part de la géographie et celle de l'histoire dans l'explication de l'habitat rural du Bassin Parisien, p. 69, 73 (Public, de la Soc. de Géographie de Lille, 1946).

page 105 note 4. Les Biens communaux duNamurois et leur partage à la fin du XVIIIe siècle (Bruxelles, 1950).

page 106 note 1. Des Cahiers d'histoire des techniques sont annoncés sous le titre : Techniques et Civilisations par M. Bertrand Gillb. Ils semblent devoir surtout s'intéresser aux industries.

page 106 note 2. Voir le bel effort collectif, à cet égard, de C. Cipolla, J. Dhondt, M.M. Postan et Ph. Wolff (Rapports du IXe Congrès International des Sciences Historiques, 1950, p. 55 et suiv.). Il est vrai que, récemment, Y. Stengers a refroidi ce « bel enthousiasme statistique », à propos de J. Cox Russel, « British Médiéval Population », Rev. Belge de Philologie et d'Histoire, 1950», p. 600-607.

page 106 note 3. « L'émigration alsacienne sous l'Empire et au début de la Restauration », Rev. histor., t. CLXV, 1950, p. 262.

page 106 note 4. Pour une étude démographique de l'Alsace au XIXe siècle dans L'Alsace contemporaine (Publications de la Société Savante d'Alsace et des régions de l'Est, 1950), p. 199. Voir, en annexe, « marche à suivre pour l'étude démographique d'une commune rurale d'Alsace ».

page 106 note 5. Michel Auoé-laribé, La politique agricole de la France de 1880 à 1950 (1950), p. 89. Remarques intéressantes sur la'fusion de la propriété foncière et de la propriété capitaliste, l'union de la terre et des grandes affaires aboutissant, à l'instigation des industriels, au protectionisme agricole des Tarifs Méline.

page 106 note 6. « De la guerre de Trente Ans à la Révolution. Les transformations sociales et économiques de Mitschdorf », Revue d'Alsace, 1949 p. 139-160.

page 107 note 1. D'après Vignac, L., Chez nous… il y a cent ans (Besançon, 1947).Google Scholar

page 107 note 2. « Quelques réflexions sur l'évolution du niveau de vie des classe ouvrières », Revue Economique, nov. 1950, p. 467-480. En particulier, évolution de la notion du minimum vital depuis 1790.

page 107 note 3. J. N. Schwerz, Assolements et cultures de l'Alsace (Trad. J. Rendu, 1839).

page 107 note 4. P. De Saint-Jacob, La situation des paysans de la Côte d'Or en 1848, Études d'Histoire mod. et contemp., p. p. la Soc. d'Hist. Mod., t. II (Études sur la Révolution de 1848), 1948, p. 239.

page 107 note 5. M. François Visine a attiré l'attention sur les « Déclarations des Communautés en Lorraine » de 1708 (un an après la publication par Vauban de la Dime royale). Il s'agit d'un rôle d'impositions dont seront sans doute ultérieurement développées les données démographiques, économiques et fiscales. En attendant, est soulignée l'importance des communaux (biens de main morte), sans quoi « l'élevage eût été quasi inexistant » (ce qui confirme, d'autre part, les conclusions de P. Recht). « Préface à l'étude de quelques éléments statistiques aux duchés de Lorraine et Bar en 1708 », Annales de l'Est, 5e série, 1 année (1950), n° 3, p. 171- 207.

page 108 note 1. Annales de l'Est (58 série, 1 année), 1950, n° 1, p. 5-15. Dans le n° 3, M. Rigaut signale « quelques monographies mosellanes » (p. 230-232). Son article prolonge en quelque sorte la récente thèse de Jean Schneider sur l'expapsion bourgeoise dans la région messine (La Pille de Metz aux XIIIe et XIVe siècles, Nancy, 1950).

page 108 note 2. « L'oeuvre réformatrice de la Société d'Agriculture du Gers dans la première moitié du xixe siècle (1800-1830) », Bull, de la Soc. archêolog., hist., littér. et scient, du Gers, LI° année (1950), p. 131-152.

page 108 note 3. Octave Festy, « Les journaux d'agriculture et le progrès agricole (1789-an VIII) », Rev. d'Hist. écon. et soc, 1950, n»’ 1 et 2, p. 35-54 et 148-169.

page 109 note 1. Jean-Paul Moreau, « Questions agricoles en Basse-Bourgogne au xvme siècle », Annales de Géographie, nov.-déc. 1950, p. 346-354.

page 109 note 2. I. Verniolle ; II. Unzent. T. XXI, 1950, fasc. 2-3, p. 97-127 et fasc. 4, p. 234-257. De ces deux communes, la première est située dans la banlieue de Pamiers, sur des terrasses alluviales quand l'Ariège sort des Pyrénées ; la seconde sur une croupe entre les vallées de deux petits affluents de l'Ariège.

page 109 note 3. En 1826, on adopte la charrue Dombasle. L'insuffisance de l'araire avait fait longtemps préférer la bêche à deux dents. — Ailleurs, aux confins du Quercy et du Rouergue, l'araire est encore, de nos jours, utilisée, étant i parfaitement adaptée au sol » : A. Cavaillé, Cent cinquante.ans de vie rurale à Saint-Projet (Tarn-et- Garonne), Rev. Géo…, Ibid., fasc. 2-3, p. 136. Charrue roues, charrue à soc et à versoir n'y apparaissent qu'à la fin du xixe siècle.

page 109 note 4. Annales de Géographie, janv.-févr. 1951, p. 25-33. — Signalons encore, dans la même revue (fasc. 4) l'article de J. Caput, La vie rurale dans la vallée sous-pyrénéenne du Gave siècles dans un autre pays, également de polyculture variée et riche, mais aussi d'élevage développé. Elle a consisté dans le « passage d'un élevage communautaire et fondé sur des déplacements à court rayon, mais perpétuels, à un élevage individuel et stable ». Landes et « touyas », dont Marc Bloch avait bien montré l'importance, se sont maintenus, non pour servir au pacage, mais pour fournir litière et engrais (p. 266).