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La Solubilité Dans le Réactif de Wagner. Histoire d'un fait scientifique et d'une norme dans le commerce des engrais (Allemagne, 1886-1914)

Published online by Cambridge University Press:  26 July 2017

Nathalie Jas*
Affiliation:
Institut universitaire européen, Florence

Extract

Depuis plus d'une vingtaine d'années, des sociologues, des philosophes, des historiens remettent en cause l'idée selon laquelle il existerait une séparation très nette entre ce qui serait du domaine de la « science » et ce qui appartiendrait à la « société ». L'histoire que nous nous apprêtons à écrire s'inscrit explicitement dans ce mouvement. Elle s'intéresse à l'élaboration et des connaissances scientifiques et des normes de vente et d'analyse, liées à un engrais très utilisé dans l'Allemagne de la fin du 19e siècle, les farines de Thomas.

Summary

Summary

This article is an illustration of some sociologists ̓, philosophers ̓ and historians ̓ claim that “Science ” and “Society” are not clearly delimited worlds; that they rather are linked together by numerous, complex and necessary relationships. It tries to show how impossible it is to retrace the history of scientific knoweldge explaining the fertilizing value of a very common fertilizer in the end of nineteenth-century Germany, the so-called Thomas meal — which are supposed to belong to the world of “Science ” — without also writing the history of norms of selling and analysing used in this fertilizer's trade — which one would describe as a “social” phenomenom —. Thus, the history of the so-called “solubility in the Wagner's reagent”, which this article is in the last resort dealing with, could not be understood without a very detailed and careful analysis of the complex, often conflict-provoking relationships, which German agricultural chemists, German Thomas meal industrialists and some German agricultural organisations are keeping up during the elaboration of the scientific interpretation of the Thomas meal's fertilizing value and of the way to estimate it. Indeed this interpretation and this way to estimate are of great importance in the establishment of norms of selling and analysing in a commercial framework.

Type
Les Grands Systèmes Techniques
Copyright
Copyright © Copyright © École des hautes études en sciences sociales Paris 1998

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References

* Les sources utilisées sont les débats du Verband Landwirtschaftlischer Versuchsstationen im Deutschen Reiche (VLVSDR) et retranscrits dans Die Landwirtschaftliche Versuchsstationen (LVS).

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3. Mais aussi de nombreux autres produits agricoles.

4. Sur les stations expérimentales agricoles allemandes voir la thèse de U. Schling Brodersen, Entwicklung und Institutionalisierung der Agrikulturchemie : Liebig und die Landwirtschaftlischen Versuchsstationen, Braunschweig, Braunschweiger Veröffentlichung zur Geschichte der Pharmazie und der Naturwissenschaften, 1989 et celle de M. Finlay, Science. Practice and Politics: German Agricultural Experiment Stations in the Nineteenth Century. Michigan, UMI Dissertation Services, 1992.

5. M. Finlay, op. cit., pp. 225-227.

6. En 1877, les deux tiers des stations allemandes pratiquent ce contrôle. Voir Entwicklung und Thätigkeit der land- und forstwirthschaftlichen Versuchs-Stationen in den 25 Jahrigen ihres Bestehens. Festschrift zur Feier des 25 Jahrigen Jubiläums der Versuchs-Station Möckern, Berlin, Wiegandt, 1877.

7. II n'existe pas de ministère de l'Agriculture au niveau du Reich. De plus, jusqu'après la deuxième guerre mondiale, les questions de réglementation et de vente des produits industriels sont du ressort des États et non du Reich ou de la République. Voir aussi les interventions des chimistes agricoles allemands dans Grandeau, L., Comptes rendus des travaux du Congrès agricole libre de Nancy, 23-26 juin 1869, Paris, Librairie agricole de la Maison rustique, 1869 Google Scholar.

8. Voir les débats du Verband publiés dans LVS, 40, 1892, pp. 40-48 ; LVS, 42, 1893, pp. 136-147 ; LVS, 43, 1894, pp. 325-334 ; LVS, 45, 1895, pp. 338-342.

9. LVS, 47, 1896, pp. 176-179. La Belgique (fin 1887) et la France (début 1888) ont été les premiers pays à voter des lois pour combattre les fraudes dans le commerce des engrais. Ces lois donnent beaucoup de pouvoirs aux stations et à leurs directeurs. Alors que l'argument de la réussite des stations allemandes en matière de lutte contre les fraudes a servi à importer les stations dans des pays comme la France, l'adoption des lois fait quasiment disparaître l'admiration internationale pour les stations allemandes. Voir A. Petermann, « Lois spéciales », Annales de la Science agronomique française et étrangère, 1895, t. 2, pp. 227-294.

10. Les méthodes de travail des chimistes agricoles qui allient champs et laboratoires ont été développées au cours des grandes querelles suscitées par les travaux de Liebig dans les années 1840-1850. Voir U. Schling-Brodersen, op. cit., pp. 89-109.

11. M. Finlay, op. cit., pp. 238-300.

12. M. Finlay, op. cit., pp. 281-286.

13. Voir le périodique Biedermann's Centralblatt für Agriculturchemie. Celui-ci publie exclusivement des comptes rendus de travaux concernant la chimie agricole édités l'année précédente ou celle en cours en Allemagne et dans une moindre mesure à l'étranger. Un seul travail sur les scories est commenté dans l'édition de 1885 contre une dizaine dans celle de 1886.

14. E. Welte, « Die Bedeutung der mineralischen Düngung und der Düngemittelindustrie in den letzten 100 Jahren », Technikgeschichte, 1968, pp. 37-54.

15. Pour un compte rendu des premiers travaux allemands sur l'action des scories voir Riedermanns Centrallblatt für Agrikulturchemie, vol. 15, 1886, pp. 27-29, 29-31,732-742, 815, 815-824, 826.

16. L'acide phosphorique total est la somme de l'acide phosphorique soluble dans l'eau et de celui soluble dans différents acides.

17. Voir Wagner, P., « Die Thomasschlacke und deren Bedeutung für den Düngermarkt », Separatabdruck aufder Chemische Industrie, 1885, n° 12 Google Scholar, qui souligne l'inutilité de transformer chimiquement les scories.

18. « Über den Werth und die Verwendbarkeit des Thomasschlackenmehls für den Ackerbau. 59. Versammlung Deutscher Naturforscher und Aertze (18-24 September 1886)», LVS, 33, 1887, pp. 461-468.

19. Fait signalé par Mayer : « Verhandlungen des VLVSDR zu Bonn 1 September 1888, Über die Bestimmung des Feinmehles in Thomasphosphatmehl », LVS, 35, 1888, pp. 444-445.

20. Le protocole précise la quantité de farine à passer au tamis, le diamètre du tamis et la finesse des mailles du tamis, la durée de l'agitation : « Protokoll der dritten allemeinge Versammlung des VDVS zu Bremen 18-19 September 1890, Die Ausführung der Feinmehlbestimmung in Thomasphosphatmehl », LVS, 38, 1891, p. 286.

21. Une seule mention de fraude nous est connue. Voir « Verhandlungen des Verbandes LVDR Bonn 1. September 1888 », op. cit.

22. « Konstituierende Versammlung behufs Gründung eines Verband des landwirtschaftliche Versuchsstationen im Deutschen Reich », LVS, 35, 1888, pp. 55-68.

23. Le fait est rapporté dans « Verhandlung des VLVSDR Bonn 1. September 1888 Bestimmung des Phosphorsäure im Thomasphosphatmehl », LVS, 35, 1888, pp. 438-442.

24. « Verhandlung des VLVSDR Bonn », op. cit.

25. Composée de Maercker (Halle), Müller (Hildesheim), Stutzer (Bonn), Wagner (Darmstadt), Morgen (Halle).

26. « Protokoll über die gemeisame Sitzung der Düngerkommission des Verbandes der Versuchsstationen und der Vertreter der Düngerfabrikanten zu Leipzig am 26 Januar 1890 », LVS. 37, 1890, pp. 297-298.

27. « Protokoll über die gemeinsame Sitzung… », op. cit.

28. « Protokoll der dritten allgemeinen Versammlung des VLVSDR zu Bremen 18-19 September 1890 », op. cit.

29. « Verhandlung der IV. Hauptversammlung des VLVSDR am 22. und 23. September 1891 Die Untersuchung der Thomasphosphat », LVS, 40, 1892, pp. 55-56.

30. « Verhandlung der V. Hauptversammlung des VLVSDR zu Berlin 11. und 12. Dezember 1892, Die Untersuchung der Thomasphosphate nach dem Schwefelsäure- und Salzsäure Aufliessungsverfahren », LVS, 42, 1893, pp. 134-135.

31. « Verhandlung der VI. Hauptversammlung des VLVSDR eu Würzburg 8-9 September 1893, Die Aufschliessung der Thomasphosphate », LVS, 43, 1895, p. 324.

32. Le procédé d'attaque à l'acide sulfurique est vraisemblablement plus pratique et demande moins d'attention que celui à l'acide chlorydrique. Cependant ce dernier est regardé comme valable, dans des pays autres que l'Allemagne, quand des précautions sont prises.

33. M. Finlay, op. cit., pp. 294-295.

34. « Verhandlung der IV. Hauptversammlung des VLVSDR zu Halle… », op. cit.

35. « Verhandlung der VI. Hauptversammlung des VLVSDR zu Wilrzburg 8-9 September 1893, Wertberechnung des Feinmehls und der Phosphorsäure im Thomasmehl », LVS, 44, 1894, pp. 350-351.

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37. Un engrais qui possède une mouture extrêmement fine et un taux d'acide phosphorique extrêmement bas ne produit pas les mêmes effets sur la croissance de la végétation qu'un engrais qui a une mouture plus épaisse et un taux élevé en acide phosphorique.

38. Impossibilté technique d'obtenir sur de grandes quantités des mélanges homogènes, trop grands frais d'analyse si l'on doit respecter trop strictement les conditions proposées par le Verband. De même, une limitation des frais entraînés par des produits défectueux, en limitant la probabilité d'en obtenir par des règles assez larges.

39. Voir les notices parues dans Biedermanns Centrallblatt für Agriculturchemie entre 1885 et 1895.

40. Pour un historique des thèses en présence voir G. Paturel, « Sur la composition et la valeur agricole des scories de déphosphoration », Annales agronomiques, 1896, pp. 497-515.

41. Les archives de Paul Wagner ont été détruites pendant la deuxième guerre mondiale.

42. « Verhandlung der X. Hauptversammlung des Verbandes zu Harzburg 1897 », LVS, 50, 1898, pp. 172-189.

43. P. Wagner, Dungunsfragen, 1894, p. 25. Souvent cité par Petermann et Grandeau qui ne reconnaissent pas les travaux de Wagner. Voir A. Petermann, J. Graftiau, « Existe-t-il une relation constante entre solubilité des scories de déphosphoration dans le citrate d'ammoniaque acide et le poids de la récolte produite ? », Annales de la Science agronomique française et étrangère, 1897, t. 2, pp. 445-454.

44. « Verhandlungen der VII Hauptversammlungen des VLVSDR, Die Wertschätzung der Thomasmehle », LVS, 45, 1895, pp. 378-385.

45. L'acide phosphorique total et la finesse de la poudre n'ayant, si l'on suit Wagner, aucune influence sur l'efficacité agricole des scories.

46. Voir la synthèse des arguments contre Wagner faite par L. Grandeau, Les scories de déphosphoration, Paris, Pariset, 1896, pp. 117-133.

47. L. Schmitt possédait une correspondance entre Wagner et Maercker datant de 1895 concernant les résultats d'expériences sur la solubilité dans le citrate : Schmitt, L., 75 Jahre Thomasphosphatentwicklungsgeschichte Rückblick, Sauerländer's Verlag, 1954, pp. 1315.Google Scholar

48. C'est l'écart acceptable entre le taux donné par le fabricant ou le vendeur et celui trouvé par la station. Pour les farines de Thomas elle a été négociée à 0,75 % entre la Deutsche Landwirtschaftsgesellschaft, le Verein der Thomasmehlfabrikanten et la Düngerausschuss du Verband. Pour les autres engrais elle se situe généralement entre 0,25 et 0,50 %.

49. « Verhandlungen der VIII. Hauptversammlung des VLVSDR Kiel 12, 13, 14 September 1895, Bericht über die vom Verbande der Versuchsstationen beschlossene gemeinsame Untersuchung der Thomasphosphatmehle auf Citratlöslichkeit », LVS, 47, 1896, pp. 152-173, plus particulièrement p. 156.

50. Et ce, car elle contient deux membres de plus.

51. « Verhandlungen der VIII. Hauptversammlung des VLVSDR… », op. cit., p. 163.

52. Des recherches de Wagner mais aussi d'industriels ont montré que l'on pouvait augmenter la solubilité dans le citrate par ce moyen.

53. « Verhandlungen der VIII Hauptversammlung… », op. cit., pp. 164-169.

54. « Verhandlungen der IX. Hauptversammlung des VLVSDR Wiesbaden 18-19 September 1895, Die Bestimmung der citratlöslichen P205 im Thomasmehlen nach P. Wagners Vorsht- rift », LVS, 49, 1898, p. 172.

55. D'ordinaire, changer ne serait-ce que de méthode d'analyse et non de critère qui définisse une valeur agricole nécessite plusieurs années de débats houleux et d'expériences contradictoires.

56. « Sitzung des Ausschusses für Düngemittel des VLVSDR Wiesbaden 21 April 1897, Die Anstellung neuer Untersuchungen über die Bestimmung der citratlöslichen Phosphorsäure im Thomasmehl », LVS, 49, pp. 185-190.

57. « Verhandlungen der X. Hauptversammlung des VLVSDR Harzburg 18-19 September 1897 », LVS, 50, 1898, pp. 172-189 et plus spécialement p. 176.

58. « Verhandlung der XI. Hauptversammlung des Verbandes Berlin 18 Januar 1898, Antrag Maercker betreffend Thomasmehlanalyse », LVS, 51, 1899, pp. 17-34.

59. Ce type d'enquête apparaît à cette époque. II est utilisé par d'autres industries, notamment le Kalisyndikat.

60. « Sitzung des Ausschusses fur Düngemittel des VLVSDR Wiesbaden 21 April 1897… », op. cit.

61. « Verhandlung der XI Hauptversammlung des VLVSDR… », op. cit., pp. 32-34.

62. Le fils du très célèbre chimiste.

63. Le terme de combat est employé « Kampf gegen die Arbeiten und Bestrebungen der Versuchsstationen ». « Verhandlungen der XI. Hauptversammlung des VLVSDR… », op. cit., p. 32.

64. « Verhandlungen der XII. Hauptversammlung des VLVSDR Munster 17 September 1898, Über das Absieben der Thomasmehle vor der Analyse », LVS, 52, 1899, pp. 7-10.

65. « Le syndicat des scories Thomas en Allemagne », L'Engrais, 2 mai 1890, p. 243.

66. « Verhandlungen der XIII Hauptversammlung des VLVSDR Berlin 30 Oktober 1898, über die neue Methode der Bestimmung der citronensäurelöslichen Phosphorsäure in Thomasphosphatemehlen », LVS, 52, 1899, pp. 84-107.

67. Quand Fresenius commente les enquêtes des industries des farines de Thomas, il emploie l'expression « in jetzigen Zeit », qui signale l'importance du contexte dans lequel sont faites ces enquêtes. Voir « Verhandlungen der XI. Hauptversammlung des VLVSDR… », op. cit., p. 32.

68. « Verhandlung det X. Hauptversammlung des VLVSDR… », op. cit., p. 189.

69. « Verhandlung der XII. Hauptversammlung des VLVSDR Münster 17 September 1898, Die Bestimmung der wirksamen Phosphorsäure in Thomasmehlen mit 2 %iger Citronensäurelösung », LVS, 52, 1899, pp. 10-25.

70. « Verhandlung der XIII. Hauptversammlung des VLVSDR Berlin 30 Oktober 1898… », op. cit.

71. « Verhandlungen der XIV. Hauptversammlung des VLVSDR München 17 und 18 September 1899 », LVS, 54, 1900, pp. 7-13.

72. « Entsprechend diesem Grundsatz hat der Düngerausschuss bislang aile von seiten der Thomasmehlfabrikanten an ihn herangetreten Ersuchen um Abänderung der méthode zur Bestimmung der citratlöslichen Phosphorsäure ablehen müssen, aber zur Zeit liegt die Sache anders Verhandlung der XIII. Hauptversammlung VLVSDR… », op. cit., p. 12.

73. « Verhandlung der XVII. Hauptversammlung des VLVSDR Hamburg 21-22 September 1901, Antrag Fresenius-Soxhlet Halenke betreffend die Bestimmung der citronensäurelöslichen Phosphorsäure in Thomasmehlen », LVS, 52, 1902, p. 5.

74. « Verhandlung der XV. Hauptversammlung Bonn 15-16 September 1900, Die Latitüde für citronensäurelöslische Phosphorsäure Thomasmehl », LVS, 56 1902, pp. 5-16 et « Verhandlungen der XVI. Hauptversammlung des Verbandes zu Berlin 10 Februar 1901, Briefe vom Geh. Regierungsrat Pr. Dr. König », LVS, 56, pp. 157-161.

75. Schmitt, L., Handbuch der landwirtschaftliche Versuchs- und Untersuchungsmethodik Die Untersuchung von Düngemitteln, Berlin, Neumann Verlag, 1954.Google Scholar

76. L'existence même de la latitude atteste de cette conscience.

77. Ce qui représente environ une trentaine de débats (et plus de 170 pages de retranscriptions) dans LVS concernant les problèmes rencontrés dans les analyses des farines de Thomas.

78. On remarque souvent que, dans certains dosages, il y a plus d'acide phosphorique soluble dans l'acide citrique que d'acide phosphorique total !

79. Un jeune chimiste agricole qui a réalisé sa thèse sur le dosage des acides phosphoriques. Voir «Verhandlung der XXII. Hauptversammlung des VLVSDR Stuttgart 15-16 September 1906, Die von Lorenzsche Méthode der Phosphorsâurebestimmung namentlich in ihrer Anwendung auf die Bestimmung der zitronensâureloslischen Phosphordàure in Thomasmehl », LVS, 66, 1907, pp. 203-215.

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82. Cet élément n'est jamais signalé dans les débats du Verband mais est indiqué dans des publications émanant des industries des engrais. Voir Kirsche, P., Die agrikulturchemische Kontrollwesen, Göttingen, G. J. Goschen'sche Verlagshandlung, 1906, pp. 1317.Google Scholar

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