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De bonne fresque est bonne.

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Abstract

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Type
Problèmes religieux (Notes et Comptes Rendus)
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1950

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References

page 529 note 1. Au courant de la plume, je signale qu'il y a beaucoup à glaner sur les dévotions : voir p. 119 surletrigramme I. H. S. ; p. 121 sur le symbolisme dans les abbayes ;p. 108 sur la Gène, thème protestant, et la Crucifixion, thème catholique, au xvie siècle. La question de la Chandelle, emblème et représentation de la Confrérie, est posée. « Carité et Candeille », oui ; mais où au juste ? On demande d'abord une carte (p. 75). — Prudentes remarques sur la peste de 1348 (p. 98) : c'est un procès à vider ; voir ce qu'en disaient les Annales en 1948. — Bonnes remarques sur le Déclin du moyen âge ; mais se rappeler qu'Huizinga disait l'Automne et non le Déclin (p. 62). — Je suis frappé du petit rôle joué, semble-t-il, dans le diocèse d'Arras par les Capucins. Il n'y en a que pour les Jésuites ? — Naturellement M. Lestocquoy se souvient qu'il a écrit l'histoire des « patriciens » d'Arras : cf., p. 76, les Hucquedieu.

page 529 note 2. Cf. l'appendice : Histoire et géographie des vocations sacerdotales, avec 2 cartes.

page 529 note 3. Naturellement, j'ai lu avec des yeux un peu particuliers certains passages du livre. Car, je ne voudrais certes pas m'attirer une affaire avec l'abbé Lestocquoy — mais enfin, son diocèse d'Arras fit, à plusieurs reprises, figure de colonie de mon diocèse de Besançon. Je veux dire de mon archidiocèse, bien que l'abbé Lestocquoy s'obstine à qualifier d'évêque l'archevêque de Besançon (p. 95 par exemple : « à la tête de cet évêché ; p. 85, Granvelle, « nommé évêque de Besançon », etc.). — Mais enfin, de Quentin Ménard et du cardinal Jouffroy à Jean Grussel Richardot (prieur de Morteau et non de Mortau, p. 130) et à Paul Boudot en passant par l'illustre Granvelle et par l'éloquent (?) François Richardot, nos Comtois ont joué un certain rôle et figuré avec quelque éclat sur le trône du bienheureux saint Vaast… Or, dans l'abondante littérature historique comtoise, l'abbé Lestocquoy eût trouvé, je crois, plus qu'à glaner pour faire revivre ces figures remarquables. Mais puisqu'il m'a fait connaître de visu François Richardot (p. 304), il lui sera beaucoup pardonné de ces vétilles. — Pas d'accord, par contre, sur la nécessité d'une monographie concernant Antoine Perrenot de Granvelle. C'est son père, Nicolas, le garde des Sceaux de Charles Quint, qui est mal connu ; le fils a été peint par morceaux — et c'était une nécessité. Que le ciel nous préserve du gros livre définitif sur Antoine : l'entreprise serait la pire des erreurs, l'échec est assuré d'avance. —Voir, sur tout ce monde comtois du XVIe siècle, mon Philippe II et la Franche-Comté (1911).