1. Le parti vert en Dauphiné [1815-1818), dans Bull, de l'Académie Délphinale, t. 13-14, 1942-1943, p. 215.

2. Un conspirateur stendhalien, Paul Didier (1758-1816), Paris, Société du Grand Armoriai de France, 1951, in-8°, v-323 pages, planche hors texte. Index onomastique. Quatre « exemplaires de travail” pourvus des références nécessaires ont dû être déposés dans des Bibliothèques publiques, dont la Nationale.

3. Sur les Chevaliers de la Foi, et les Francs régénérés, excellent chapitre de l'abbé G. De Bertier De Sauvigny, Le Comte Ferdinand de Bertier (1782-1864) et l'origine de la Congrégation, 1948, p. 184-216. Selon de très judicieuses remarques de Pierre Reboul, rendant compte de l'ouvrage précédent, il est sans doute exagéré de ramener à l'unité toutes les sociétés dénoncées à l'époque (Rev. des Sciences humaines, avril-sept. 1951, p. 298, n. 4). Mais on vivait alors dans la hantise des complots, que la propagande ultra ne contribuait pas non plus à apaiser. Quant à l'Union, elle aurait exigé pour s'engager des pouvoirs signés de Fouché, de Carnot, du Prince Eugène, que Didier sollicita vainement. Sur J. Rey, à l'article de G. Weill sur ses mémoiresdans Rev. Hist., t. CLVIII, 1928, p. 291-307, ajouter H. Dumolakd, J. Rey (de Grenoble), dans Annales de l'Université de Grenoble (Lettres-Droit) , 1927, p. 77-112, et F. Rude, Un socialiste utopique oublié, Ibid., 1944, p. 76-105. Et sur les Philadelphes, L. Pingaud, La jeunesse de Chartes Nodier, Besançon, 1914.

page 281 note 1. Le Divan, oct.-déc. 1951, p. 259. Cf. F. Vermale, Autour du Rouge et Noir*, dans Rev. à“Hist. littér. de la France, janv.-mars 1951, p. 37-52. — Sur la valeur encore du Courrier anglais, P. Leuilliot, Deux chroniques de la Restauration, dans Annales, 1950, p. 479-484.