¹ For authority and perception and their bearing on fact and value see my “Authority and Rationality,” Philosophy (London), Vol. 26 (1952)Google Scholar.

² Henry Nettleship, Contributions to Latin Lexicography (1889): auctōrǐtās—(II. auctor), properly the position of an auctor. II. auctor: probably from a lost verb augěre, the base of which is identical with that of εὕχομαι and αὺχάω (see s.v. augur); so “one who tells or declares.” 1. One who gives his sanction to a thing, approves of it, advises the doing of it. For example in Plautus Pseudolus, quid nunc mihi's auctor, Simo? (what do you advise me to do?) or in Cicero, auctor nostrae coniunctionis (advises us to hold together) or often in Caesar, auctor novorum, consiliorum, armorum, belli; and in Sallustius, Vergilius, and all Latin. Augur—abbreviated A or AV on coins: C.I.L. I. 479 (about 54 B.C.) 1. One who foretells or prophesies; in its oldest use probably of the official prophets of the Roman people. Ernout, A. and Meillet, A., Dictionaire etymologique de la Langue Latine (3d ed., 1951)Google Scholar: auctōritās—fait d'être auctor, avec tous les sens du mot. Auctor—sens premier “celui qui fait croître, ou qui fait pousser.” En dehors de ce sens, le mot semble avoir appartenu dès la période italique comme aux langues de la religion et du droit. L'ombrien a la forme uhtur “auctor,” titre d'un magistrat des fratres Atiedii analogue au χορυφαǐος grec; on peut rapprocher l'emploi, dans la langue officielle latine, de auctor “qui in senatu primus sententiam dicit,” e.g., Cic., Pis. 35, senatus decreuit Cn. Pompeio auctore et eius sententiae principe. Celt.: irl. auctor, gall. awdur, awdurdod. Augeō, augere—emploi transitif et absolu (comme αǔξω, αύξάνω 1° faire croître; accroître; augmenter; amplifier; 2° s'accroître. —Ancien, usuel. Ce sens général de “[s]'accroître” apparait dans un grand nombre de dérivés. D'autres, au contraire, en passant dans les langues techniques, ont pris des sens spéciaux tels que la parenté avec augeō n'est souvent plus sensible. Tels sont augur, auclor, auctōritās, auctōrō, audiō, et auxilia. Augur, -uris m.: augure (prêtre) est un ancien nom du type fulgur/fulguris ou fulgeris. Le dérivé augustus atteste, à côté du thème en -r, l'existence d'un thème en -s *augus-. Le sens du mot devait être à l'origine “accroissement accordé par les dieux à une enterprise,” d'ou “présage favorable,” ou, s'il s'agit d'un ancien masculin, “celui qui donne les présages favorables.” La rapport entre augeō, auctōritās et augur apparâit dans cette phrase de Cicéron, de har. resp. 18, rerum bene gerendarum auctoritates augurio … contineri. Ainsi donc augur désigne celui qui donne les présages assurant l'accroissement d'une enterprise.

³ A fuller discussion of the language and trappings of authority can be found in my Errors of Psychotherapy (New York, 1952)Google Scholar.

⁴ The relation of authority to the political covenant and to order is treated in de Grazia, Sebastian, “The Principle of Authority in Its Relation to Freedom,” Educational Forum, Vol. 15 (1951)CrossRefGoogle Scholar.