La très grande majorité des travaux, ancients et récents, consacrés au cris posent, souvent en d’autres termes mais cela revient au même, que la longueur est phonologique au niveau vocalique. En effet, qu’il s’agisse des ouvrages de Michelson (1939), ou de Bloomfield (1946), ou qu’il s’agisse des travaux de Lacombe (1874), de Hives (1948), de Watkins (1938), de Horden (1881), ou de Howse (1844), ou encore, des recherches de Rogers (1958), de Ellis (1962), de Mackenzie (1971), de Longacre (1957), ou de Wolfart (1973), partout l’on maintient, même si cela est souvent dit autrement, que la longueur exerce une fonction distinctive.