L'indépendance judiciaire est un des fondements de notre civilisation. Depuis que cette notion a été posée et développée dans la doctrine de la trias politica, nous avons appris à accepter, depuis des générations, l'indépendance du juge comme une chose naturelle et, dans les nombreux pays où la triple structure des pouvoirs législatifs, judiciaires et exécutifs a été réalisée, il est considéré comme tout à fait normal que le juge, dans l'exercice de ses fonctions, soit mis à l'abri des réactions, suscitées par sa décision, qui pourraient constituer une menace pour sa personne ou ses biens.

Artikel 17 van het Handvest legt het primaat van het financiële beleid van de Verenigde Naties in handen van de Algemene Vergadering. Deze heeft op grond van deze bevoegdheid een algemene leidraad in de vorm van “Financial Regulations” vastgesteld (Resolutie 456, V). Bij artikel 13.1 van dit reglement is bepaald, dat geen Raad, Commissie of ander orgaan “een besluit zal nemen dat uitgaven met zich mede brengt, tenzij het een rapport van de Secretaris Generaal betreffende de administratieve en financiële gevolgen van het besluit, voor zich heeft.” Op grond hiervan schrijft het huishoudelijk reglement van de Algemene Vergadering voor, dat dergelijke besluiten in het plenum vergezeld moeten gaan van een door de Secretaris Generaal opgestelde begroting en een rapport daaromtrent van de begrotingscommissie.

The U.S. District Court for the Southern District of Florida recently decided a case between a number of foreign airlines and the Dade County Port Authority as operator of the Miami International Airport. This case concerned the question of whether foreign airlines were bound to pay airport charges at a higher rate than some comparable American airlines. The plaintiff airlines claimed that the rates imposed by the Airport violated the applicable provisions of the Chicago Conventions The Port Authority denied this and opposed the claim on factual as well as legal grounds. For a proper understanding of the case we have to turn to the preceding history first.

L'année qui vient de se terminer a suivi celle où a eu lieu la réunion de la Conférence en session plénière. Comme d'habitude, l'on peut distinguer dans l'activité de la Conférence durant cette période deux éléments, l'un relatif à l'avenir, l'autre à la mise en oeuvre des résultats atteints dans le passé

Examinons d'abord le second élément: les délégués rentrés chez eux après la Session ont consacré une énergie considérable à la publication d'un nombre important d'articles précieux afin de faire connaître à leurs compatriotes, et surtout au monde des juristes intéressés au droit international privé, les résultats atteints à La Haye en 1960. Il y a lieu de faire rentrer dans cette catégorie de conséquences directes de la Neuvième session un événement d'une importance primordiale pour l'efficacité de la Conférence même: le 5 octobre 1961, c'est-à-dire précisément un an après l'ouverture de la Neuvième session, les trois Conventions adoptées par celle-ci furent signées par les Représentants diplomatiques d'un nombre appréciable d'Etats, nombre qui augmenta encore dans les semaines suivant immédiatement cette date. C'est avec quelque étonnement que certains intéressés ont constaté l'absence, jusqu'ici, de toute signature au nom des Pays-Bas, dont cependant la Commission d'Etat pour la codification du droit international privé agit comme organe inspirateur de la Conférence. Nous croyous savoir qu'il ne s'agit ici que de retards dus à des conditions administratives, plutôt que d'objections d'ordre matériel contre les dispositions convenues.

La Cour s'est réunie pendant 53 jours en 1961. Elle a commencé ses travaux le 4 avril, pour terminer sa session le 26 mai. Sous la présidence de S. Exe. M. Winiarski, la Cour a traité l'affaire du Temple de Préat Vihéar (Cambodge c. Thaïlande), Exceptions préliminaires, et elle a prononcé son arrêt le 26 mai.

Op 21 September 1961 heeft de Broederschap der Notarissen in Nederland, te Utrecht haar jaarlijkse algemene vergadering ge-houden. Een belangrijk deel dezer vergadering werd gewijd aan de bespreking van een geschrift van de hand van de Amsterdamse notaris van der Ploeg, getiteld: Enkele Erfrechtelijke Hoofdstukken van Internationaal Privaatrecht, een geschrift dat de opsteller uitdruk-kelijk vermeden heeft een prae-advies te noemen, maar dat door de meeste debaters, alsook door de Voorzitter der Broederschap, in zijn slotwoord, als prae-advies werd gequalificeerd.

We apologize to our readers for an error on pp. 370 and 371 of Vol. VIII (1961) The last line “person who is obliged decides himself whether something is good or not, or” on p. 370 should be the first line on that page. Then should follow on p. 370 what now is p. 371. What now is p. 370 — minus the above quoted line — should be p. 371.

On p. 390 of this Review, Vol. VIII (1961) line 26 from the top read in stead of “involved” “invalid” and on p. 392 line 20 from the top in stead of “provional” “provisional”