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Le Mausolée de Q. Apuleus Maxssimus à El Amrouni

Published online by Cambridge University Press:  09 August 2013

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Abstract

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Copyright © British School at Rome 1989

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References

1 H. Lecoy de La Marche, Recherche d'une voıe romaıne du golfe de Gabès vers Rhadamès, BCTH, 1894, pp. 402–5; A. Heron de Villefosse et P. Gauckler, CRAI, 1894, pp. 477–81; P. Berger, Le mausolée d'El Amrounı, RA, 3e série, t. 26, 1895, pp. 71–83; ID, CRAI, 1904, p. 510; O. Brogan, Henscır el Ausāf by Tıgı (Trıpolıtanıa) and some related tombs ın the tunısıan Gefara, Lıbya antıqua, t. 2, 1965, pp. 54–6; Trousset, P., Recherches sur le limes trıpolıtanus, Paris, 1974, n° 127, p. 110ss.Google Scholar; Archives de l'INAA. rapport du Lt. Lecoy de la Marche, 1894; rapport du Lt. Paolini, 1916; rapport du Lt. Bertrand, 1917.

2 P. Trousset, op. cit., pp. 155–6.

3 Ibid., p. 157.

4 Ibid., p. 26.

5 Ibid., p. 19.

6 Ibid., n° 125.

7 Ibid., n° 129.

8 Ibid., n° 126.

9 Ibid., Carte, fig. 38.

10 Ibid., p. 155.

11 Etudes d'Archéologie Orıentale, 1895, t. I, p. 164Google Scholar.

12 Equivalent des Mânes.

13 Serait-ce une ethnique? Nous n'avons pu consulter l'article suivant: Vattioni, F., la bılıngua latına e neopunıca dı El Amrounı, dans Helıkon XX–XXI 19801981, pp. 293–99Google Scholar.

14 Une vingtaine d'exemples au t. VIII du Corpus des Inscrıptıons Latınes; également cité à l'index des ILaf, dans Karthago XI, p. 169 ss.; cf. aussi J. M. Lassère, Ubıque populus, p 343.

15 ID, Ibid., p. 347, n. 240.

16 Picard, G., Cıvıtas Mactarıtana, dans Karthage VIII, 1957, p. 78Google Scholar.

17 Ferron, J., Inscrıptıons Juıves de Carthage, dans Cah. Byrsa I, 1951, pp. 199200Google Scholar.

18 RA, 1895, p. 73.

19 Kajanto, I., The latın cognomina, Helsinki, 1965Google Scholar.

20 CIL VIII, 12457 b.

21 CIL VIII, 27173; cf. BCTH, 1901, p. 399, n° 14; RT 1909, p. 405, n° 623.

22 Cf. ınfra: datation.

23 CIL III, 11906.

24 CIL IX, 2877: Hıstonıum, Regio IV.

25 Halff, G., L'onomastıque punıque de Carthage, dans Karthago XII, 1963, 4, p. 61 ssGoogle Scholar.

26 —Liste des Juvenes: G. Picard, op. cit., p. 78, 1. 37 et p. 27.

—liste de souscripteurs au temple d'Apollon: ID, BCTH, 1946, 9, p. 683Google Scholar, 4.

27 C1L VIII, 22687.

28 Henchir Beni Guedal, Gıgthıs, Sabratha, Oea, Leptıs Magna.

29 Brogan, O., loc. cit., dans Lıbya Antıqua II, 1965, p. 55Google Scholar.

30 Lassère, J. M., Recherches sur la chronologıe des épıtaphes paıennes de l'Afrıca, dans Ant. Afr., t. VII, 1973, p. 44Google Scholar.

31 ID, Ibid., p. 62.

32 P. Trousset, op. cit., p. 77, n° 5.

33 Ibid., p. 66 n° 2.

34 Ibid., pp. 84–5.

35 Ibid., p. 83, n° 1.

36 Ibid., p. 157.

37 Ibid., p. 84.

38 Ibid., p. 68 et fig. 25,b. A moins qu'il ne s'agisse d'une déformation locale.

39 Ibid., p. 114 ss. Cf. Euzennat, M. et Trousset, P., Le camp de Remada, fouılles ınédıtes du Commandant Donau, dans Afrıca V–VI, 1978, p. 111 ssGoogle Scholar. en particulier p. 139 ss.

40 P. Trousset, op. cit., p. 126 et p. 156. G. Picard, A propos d'un bas-relıef romaın découvert à Tıgı, dans BCTH, 1959–60, pp. 35–40.

41 Kajanto, I., Onomastıc studıes ın the early chrıstıan ınscrıptıons of Rome and Carthage, Ada Instıtutı romanı Fınlandıae, vol. II, Helsinki 1963, p. 30 ssGoogle Scholar.

42 ID, Ibid., p. 48.

43 Panciera, S., Saggı d'ındagine sall' onomastıca romana, dans l'Onomastıque latıne (Pflaum-Duval, colloque du CNRS, 1975), p. 199Google Scholar.

44 I. Kajanto, op. cit., p. 48.

45 Ou peut-être alors une traduction, sous toutes réserves, bien sûr.

46 Description établie à partir de documents photographiques. Toutes les mesures d'ensemble sont prises d'après les relevés du Lieutenant Lecoy de la Marche.

47 95 cm. à l'Est et au Sud; 1,10 m. au Nord et 1,17 m. à l'Ouest.

48 D'après Lecoy de la Marche; 2,20 m. × 2,20 m. d'après le Lieutenant Paolini.

49 Cf. Ferchiou, N., MEFRA 98, 2, 1986, p. 665 ssCrossRefGoogle Scholar. et MEFRA 99, 2, 1987, p. 767 ssCrossRefGoogle Scholar.

50 25 cm. = une demi coudée

34 cm. = deux-tiers de coudée, soit un pied.

51 Alors que les gradins qu'elle couronne mesuraient 50–51 cm. de haut; cette légère différence semble nécessaire pour marquer le passage à une nouvelle partie du monument.

52 CRAI, 1894, pp. 477–81; RA, 1895, t. 26, p. 72.

53 Etat actuel; 90 cm. dans la restitution. Les mesures de l'inscription latine one été faites sur le bloc même.

54 Ce que le lieutenant Lecoy de la Marche n'avait malheureusement pas fait.

55 Le bloc du chapiteau porte une partie du fût avec l'amorce des cannelures, ce qui, sur le dessin, lui donnerait 52 cm. de haut; or par rapport aux clichés, la zone unie entre l'astragale et les cannelures serait un peu trop importante. Peut-être y a-t-il là une légère erreur du dessinateur, sur un relevé par ailleurs très soigné: il faudrait alors supposer qu'une des deux assises inférieures n'a que 48 cm., mais l'on peut tout autant incriminer les tailleurs de pierre.

56 Un pied dérivé de la coudée punique.

57 Cf. supra, paragraphe consacré au piédestal.

58 Shoe-Meritt, L., The geographıcal dıstrıbutıon of greek and roman ionıc bases, dans Hesperıa XXXVIII, 1969, p. 202Google Scholar.

59 Ou d'une moulure à peine concave.

60 Et non bombée ou en S, comme cela arrive parfois.

61 Pour ses rapports possibles avec l'épitaphe latine, cf. supra., 62 following.

62 Gutschow, M., Untersuchungen zum korıthischen Kapıtell, I, dans JDAI, 1921, tabelle III, p. 75 ssGoogle Scholar.

63 Citons cependant un chapiteau du marché de Leptıs Magna: Institut germanique de Rome, neg. n° 69, 1726.

64 Ils proviennent sans doute d'un autre monument.

65 E. Weigand, Baalbeck und Rom, dans JDAI, 1914, p. 61 ss.: en général à partir d'Hadrien à Rome.

66 Citons par exemple le cas des chapiteaux ioniques ou éolo-ioniques.

67 Les ouvrages de D. Heilmeyer et P. Pensabene n'offrent rien de comparable.

68 Toga fusa ou contabulata.

69 L. Foucher, Portraıts afrıcaıns de Septıme Sévère, dans BCTH, 1970, p. 199 ss. Apuleus ne porte pas non plus de mèches frontales ou de bouclettes.

70 Et non pas un griffon ailé à quatre pattes: cf. Ph. Berger, loc. cit., dans RA, 1895, p. 78.

71 Di Vita, A., Il lımes romano dı Trıpolıtanıa, dans Lıbya Antıqua I, 1964, p. 74 ssGoogle Scholar.

72 Il est cependant possible que cela soit partiellement dû à la qualité de la roche, cassante et ponctuée de trous.

73 P. Trousset, op. cit., p. 156, n. 7; cf. aussi De Angelis D'Ossat, G. e Farioli, R., il complesso paleocristiano di Breviglieri (El Khadra), dans Quad. Arch, della Libia 7, 1975, p. 96, fig. 94Google Scholar.

74 A. Di Vita, loc. cit., p. 76.

75 Ph. Berger, loc. cit., pp. 80–2.

76 Il y serait fait allusion à la scène ou Lycurgue veut détruire les plants de vigne à coups de hache et ne tardera pas à tuer ainsi son fıls Dryas, dans une crise de folie. La présence de la panthère rappelle qu'il fut ultérieurement déchiré par les félins sacrés, ou annonce de manière plus générale la vengeance du dieu. Le thème appartient également au répertoire de la mosaıque. Cf. G. Sauzon, Rinceaux de l'Aza Pacıs, dans RA, 1988, 1, p. 37, n. 111; Lavagne, H., dans l'Assocıatıon dıonysiaque dans les socıétés ancıennes, coll. de l'Ecole Françoise de Rome, 89, 1986, p. 147Google Scholar.

77 J. M. C. Toynbee and J. B. Ward-Perkins, peopled Scroll, a hellenıstic motıf ın ımperıal art, dans PBSR, 1950, pp. 5–6 et pl. II, 1–3. Le génie à jupe de feuillage est tantôt seul, tantôt flanqué de bêtes féroces. Sous la forme féminine, ce peut être une représentation de la Grande Déesse.

78 Ni à Carthage, ni à Mactar et le Haut-Tell, ni à Sbeitla.

79 Et plus tard de Breviglieri.

80 Le dessin des feuillages n'est pas le même. Par exemple, les feuilles de vigne sont, à El Amrouni, beaucoup plus étirées en longueur et profondément découpées en folioles. Les grappes ont également une autre forme; elles sont beaucoup moins triangulaires et ont plus de relief.

81 Brogan, O., Henscır el-Ausāf by Tigı (Tnpolıtanıa), dans Lıbya Antıqua II, 1965, p. 55Google Scholar.

82 Au contraire, celui-ci n'est pas inconnu dans d'autres sites du limes tunisien.

83 M. Verzar, Fruhaugusteicher Grabbau ın Sestino (Toscana), dans MEFR, 1974, 1, abb. 9 à 15 et 31 à 37.

84 J. M. C. Toynbee and J. B. Ward-Perkins, op. cit., PBSR, 1950, pl. II, 2–3 (le modelé en est différent). Floriani-Squarciapino, M., Il fregıo del tempıo del Dıvo Gıulıo, Rend. Ac. Naz. Lınceı, ser. VIII, vol. XII, fasc. 5–6, 1957, p. 270 ssGoogle Scholar.

85 Picard, G., De la Maison d'or de Néron aux thermes d'Acholla, dans Monuments Pıot, 63, 1980, p. 63 ssGoogle Scholar.

86 Epaules par exemple.

87 G. Picard, loc. cit., BCTH, 1959–60, p. 37. Notons que Lady Brogan était gênée par le problème de l'utilisation de l'incision périphérique pendant plusieurs générations: loc. cit., p. 55.

88 G. Camps, Aux origines de la Berbérie, monuments et rites funer. protohistoriques, p. 566.

89 ID, Ibid., p. 200.

90 Et non en caractères latins transcrivant une langue néopunique, comme cela arrive fréquemment en Tripolitaine.

91 P. Berger; Clermont-Ganneau.

92 Lady Brogan et le Professeur G. Picard notaient déjà, à propos de Tigi et de Beni Guedal, qu'il ne s'agissait pas du travail d'artisans indigènes.

93 Des reliefs de style ‘africain’ sont fréquents dans la région, à Tatahouine, Henchir Bou Guerba ou ailleurs, mais on les considère normalement comme plus tardifs

Tatahouine: Ph. Berger, Note sur l'inscription néopunique du mausolée de Tatahouine, dans BCTH, 1901, p. 296 ss.

—Henchir Bou Guerba: Du Breil de Pontbriand, Fouilles à Henchir Bou Guerba, dans BCTH, 1902, p. 405 ss.