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Peut-on acclimater « la Pensée sauvage » ?

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

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Nous voudrions réfléchir sur la difficulté qu'éprouve un philosophe devant une œuvre comme celle de M. Lévi-Strauss. Notre propos est de faire passer cette difficulté de l'état de simple obstacle matériel à celui d'un problème intelligible. Il s'agit de comprendre la nature de la résistance qui fait que ce travail (La Pensée sauvage) demeure pour le philosophe un objet étranger, dans le sens où une langue est étrangère. L'illusion du philosophe est encore de croire qu'il est un traducteur universel, un lecteur absolu. Or, un ouvrage comme La Pensée sauvage est écrit dans un code qui, nous semble-t-il, ne peut se transcrire dans le vocabulaire philosophique habituel.

Type
Débats et Combats Autour de « La Pensée Sauvage »
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1965 

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References

page 559 note 1. Diagramme de pluies (p. 122) comparé au serpent Yurlunggur, par exemple.

page 560 note 1. P. 44.

page 561 note 1. Exemples : pp. 174 à 177 et pp. 107 à 120.

page 562 note 1. Exemples : p. 66, p. 106, p. 115.

page 562 note 2. P. 89 sqq.