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Histoire sociale et généalogie : La noblesse du Nord de la France*
Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
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L'étude des lignages français reste à faire selon des méthodes modernes. Les généalogies éditées jusqu'à ce jour ne tiennent que rarement compte de la vie sociale ; simples suites de filiations, de faits d'armes et d'anecdotes, elles ne replacent pas les hommes dans leur milieu social. D'autre part, l'histoire contemporaine s'est surtout attachée au patriciat; elle laisse le plus souvent les lignages nobles à des non-spécialistes imbus d'héraldisme et dont l'esprit critique reste en sommeil. Pour méritoire que soit la reconstitution des degrés et les études d'onomastique, il est évident que l'étude des familles, envisagée sous cet unique aspect, demeure à la fois rebutante et stérile. La sociologie seule peut sauver la généalogie. Le mouvement qui se dessine dans le Nord de la France en faveur de cette méthode combinée n'a jusqu'à présent touché que les dynasties bourgeoises.
- Type
- Études
- Information
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- Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1951
Footnotes
M. le Dr P. Feuchère, de l'Acadèmie d'Arras et des Commissions historiques du Nord et du Pas-de-Calais, a dèjà donnè aux Annales en 1949 (numèro d'octobre-dècembre) un excellent article d'histoire sociale sur les familles bourgeoises de Lille. L'esquisse d'histoire sociale sur la noblesse du Nord qu'on va lire aujourd'hui ne répond pas seulement, à plusieurs nnées de distance, à l'enquête que nous avons entreprise en 1936 dans les Annales, Marc Bloch et moi, reliant ainsi le présent au passé de la « maison » — elle suggère aux travailleurs de province un mode d'emploi de leur connaissance approfondie d'un grand nombre de faits locaux extrêmement profitables pour le progrès de nos études. L'article vaut en soi; il prend par surcroît valeur d'exemple et de suggestion. Le Nord a commencé : au Midi, à l'Est, à l'Ouest, il ne manque pas d'érudits capables de mobiliser leur riche savoir et de le jeter utilement dans le circuit de l'histoire sociale. —Inutile d'attirer l'attention sur l'intérêt, pour 'es études démographiques, de tableaux comme ceux qu'on trouvera mis en forme à la fin de l'article du Dr Feuchère.— Lucien Febvbe.
References
page 306 note 1. Le meilleur travail sur les noblesses reste celui de Bloch, Marc, La Société féodale, II, Les Classes et le gouvernement des hommes, Paris, 1940, p. 1–98.Google Scholar Voir aussi dans les Annales d'Histoire économique et sociale, t. VIII et IX (1936-1937) les articles de Marc Bloch, du comte de Neufbourg, de MM. Jelusic, Luzzatto, T. H. Marshall, N. Denholm-Young et A. Sayous.
page 306 note 2. Lestocquoy, , Les Dynasties bourgeoises d'Arras, du XIIIe au XVe siècle, Arras, 1945;Google Scholar du même, Les Patriciens d'Arras sous la Renaissance. Arras, 1950. P. Feuchèhe, La Bourgeoisie lilloise au moyen âge i, Annales, 1949, p. 422-430.
page 307 note 1. Fawtier, , Les Capétiens et la France, Paris, 1942, p. 191.Google Scholar
page 307 note 2. Fkuchèrb, article cité, p. 424.
page 307 note 3. Très net chez les châtelains d'Arras et de Saint-Omer ; cf. mes articles : t L'Origine et l'évolution sociale des châtelains de Saint-Omer ; une lignée coloniale au xiiie siècle, les Saint-Omer de Grèce », Bull. Soc. Acad. des Antiquaires de Morinie, t. XVII, p. 255, 258, 353-368 ; — e L'Évolution institutionnelle de l'office de châtelain de Lens », Reu. du Nord, t.XXXI (1949), p. 204, et Les Châtelains d'Arras (Arras 1948), p. 51-53.
page 307 note 4. Chez les Arras, les Saint-Omer, les Lens, les alliances avant 1270 sont profitables. Après cette date, les acquisitions de flef par mariage deviennent très rares (voir mes articles précités).
page 307 note 5. Leuridan, , « Statistique féodale de la châtellenie de Lille, Bull, de la Comm. hislor. du dép. du Nord, t. XVII, XX, XXII,Google Scholar XXIV, XXV (ouvrage vieilli, sans références, antérieur à 1900); —Vanhove, «Statistique féodale de la Flandre maritime», Ann. Com. Flamand, t. XXXIX, 1932 (pas de références) ; — J. De Pas, « Notes pour servir à l'établissement d'une statistique féodale de l'ancien bailliage de Saint-Omer, Mém. Soc. Antiq. Morinie, t. XXXIII, XXXIV, XXXVI, 1921-1936 (références, mais ne commence qu'au xiv);
— Rodière, Statistique féodale du bailliage de Rue (Eu, s. d.). Voir aux Archives du Pasde- Calais les fiches de fief manuscrites de Rodière. Je prépare une statistique féodale de la châtellenie de Lens.
page 308 note 1. Voir surtout Bloch, Marc, Les Caractères originaux de l'histoire rurale française (Oslo, 1931).Google Scholar
page 308 note 2. Travaux sur les Wavrin : Goethals, , Histoire de la Maison de Wavrin (Bruxelles, 1866);Google Scholar Brassart, , Une Vieille généalogie de la Maison de Wavrin (Souvenirs de la Flandre Wallonne, t. XVI, 1876, p. 27–174);Google Scholar Feuchère, , L'Écusson en abîme et ses brisures au moyen âge. Paris, 1948, p. 7–12.Google Scholar — Patrimoine foncier aux xiiie-xive siècles : Wavrin, Lillers, Saint-Venant, Sainghin-en-Weppes, Harponlieu, Cantin, Heudicourt près Péronne, Waziers près Douai, Raimbeaucourt, Hornaing, Malannoy près Lillers, Upen, Armentières, Dranoucte, Douvrin près La Bassée, Wattignies, Santés, Goisancourt en Cambrésis, Gouzeaucourt, Comines, Maisnil-les-Ruitz.
page 308 note 3. Liste dans mon travail sur L'Écusson en abîme.
page 308 note 4. Outre mes études précitées, voir celle à paraître, « Les Neuville-Vitasse, esquisse d'étude sociale », Communication à la Comm. hist. du Pas-de-Calais, 1951.
page 308 note 5. Le mariage d'Eustache III de Neuville en 1180 avec une soeur de l'avoué de Béthune marque le point de départ de l'ascension de la lignée
page 309 note 1. Emissa quae cognomitor comitissa (acte de 1107). Arch. NORD, 40 H 72.
page 309 note 2. Comtesse de Valenciennes, fille du châtelain Isaac, descendant du comte Isaac de Cambrai (910-21), allié à une Frioul, petite-fille de Gisèle, fille de Louis le Pieux.
page 309 note 3. Première mention de Rogerus dapifer en 1135. B. N., Coll. Moreau, 50, f° 190.
page 309 note 4. Histoire d'Eracles, t. II, p. 174, citée par Grousset, Histoire des Croisades, t. III, 1936, p. 47.
page 309 note 5. Pour les dix enfants de Roger III, on note : l'aîné Hellin Ie», époux de Torselle d'Arras ; Gilles, seigneur du Malsnil-lez-Ruitz ; Roger, évêque élu de Cambrai ; Robert l'Oncle, seigneur de Sainghin, époux d'Adèle de Guines ; Gossuin, époux d'Ade de Hainaut-Roeux ; Agnès, épouse de Gautier d'Arras ; Ansilie, femme de Gossuin II d'Épinoy (voir actes de 1177, Nord, 28 H 5,'. p. 127 ; 1192 : Pas-de-Calais, Fonds d'Étrun ; 1198 : Cart. chapitre Arras, éd. DE Loisne, n° 87 ; 1196 : Van Lokerbn, Act. et Doc. Saint-Pierre, Gand, n” 374; Duchesne, Hist. de la Maison de Guines., pr., p. 80.
page 309 note 6. Nord, 12 H 2, p. 128 (acte de 1197).
page 309 note 7. Teulet, Layettes…, t. I, p. 411-412, 421.
page 309 note 8. Hellin II épouse Isabelle de Montmirail-Oisy ; Robert II, Eustachie de Châtillon et Mahaut de Béthune.
page 309 note 9. Les Wavrin-Waziers à Comines ; les “Wavrin-Saint-Venant ; les Wavrin-Harponlieu. 10. Entre 1270 et 1350, Hellin III, Robert III et IV ne paraissent le plus souvent que comme seigneurs de Lillers. 1270, 1273 : Ms. Rebecque, p. 490-491 ; 1279 : Pas-de-Calais, Mont-Saint-ÉIoy ; 1293 : Ibid. A 38 ; 1315, 1316, 1323, 1335, 1339, 1342,1346 : Ibid. (A 61, 68, 77, 3, f° 2, 414, 423, 427, 452, 619, 620, 961, 970).
page 310 note 1. Entre 1285 et 1411, quatre Hellin de Wavrin-Waziers sont barons de Comines et sénéchaux de Flandre, reprenant pour leur compte le sénéchalat abandonné par les aînés ; de 1279 à 1370, trois Robert de Wavrin-Saint-Venant sont à l'avant-garde de la chevalarie flamande ; le troisième est maréchal de France.
page 310 note 2. Mort à Azincourt de Robert VII, époux d'une bâtarde du comte de Flandre, Louis III de Maele, et de son fils Robert VIII, époux d'une Créquy. Cf. Monstrelet, Chroniques, t . III, p. 113 ; Belleval, , La Bataille d'Azincourt, Paris, 1863.Google Scholar
page 310 note 3. Même transmission chez les Neuville-Vitasse éteints en 1415 avec Hugues et son fils Jean, auxquels succèdent les Ocoche-Neuville.
page 310 note 4. Nord, B 1984, acte de 1445-1446 : « “Walerand, seigneur de Waurin, de Lillers et de Mallaunoy, conseiller et chambellan, naguère capitaine général de l'armée de mer de mon dit seigneur ».
page 310 note 5. Contrat de mariage de Valeran et de Liévine de Roubaix. Arch. Mun. Roubaix, 11, p. 13.
page 310 note 6. Quatre bâtards pour Robert VII, dont l'auteur des Anchiennes chronicques d'Engleterre, Jean de Wavrin, seigneur de Forestel. Quatre bâtards pour Valeran, dont un autre Jean, seigneur de Forestel et Georges, capitaine de Lillers. Une bâtarde de Philippe. Les mésaventures conjugales de Jacques Quiéret, seigneur de Heuchin, époux de Bonne de Wavrin, nous sont connues par les lettres de rémission de mars 1451. ARCH. NAT., JJ., 185, p. 65 ; Belleval, , Gauvain Quiéret et sa famille. Paris, 1866, p. 87–88.Google Scholar
page 310 note 7. Wavrin, une des quatre seigneuries hautes-justicières de Flandre Wallonne avec 174 hommages ( Mathias, , Histoire de Wavrin. Lille, 1910, p. 43 Google Scholar). Lillers avec 14 terres à clochers et 200 fiefs ; Saint-Venant avec 5 terres à clochers et 30 fiefs. Loisne, De, Dict. Topographique du Pas-de-Calais. Paris, 1907, p. xi Google Scholar et xii de l'Introduction.
page 310 note 8. NORD, B 2166 : cession en 1499 de Lillers, Malannoy et Saint-Venant par Philippe de Wavrin à Charles de Croy-Chimay.
page 311 note 1. Cf. Feuchère, L'Ëcusson en abîme…, p. 9 et 17.
page 311 note 2. Ibid., p. 14 (Wavrin, Auby, Villers, Sauchoy, Wavrin-Villers-au-Tertre).
page 311 note 3. Bloch, Marc (La Société féodale, t. II, p. 11)Google Scholar affirme la continuité entre les maîtres de domaines ruraux et les seigneurs du premier âge féodal : « La seigneurie… était… chose très vieille. Brassée et rebrassée tant qu'on voudra, il faut bien qu'en elle-même la classe des seigneurs n'ait pas eu une ancienneté moindre. » Je crois que la « féodalité secondaire « n'existe pas en Artois et dans le Sud de la Flandre. Des éléments patrimoniaux (domaines identiques) et onomastiques (série de trois noms) permettent de rattacher aux trois groupes de la noblesse palatine, Cambrai-Valenciennes, Frioul-Gouy, Robertiens-Laon-comtes d'Arras, les lignées des châtelains de Tournai, Lille, Douai, Lens, Valenciennes, Bapaume, les avoués de Marchiennes (Aubigny) et Saint-Vaast (Béthune). Ces optimales du xi6 siècle sont les premiers à apparaître. En Flandre, opinion semblable de M. Dhondt, qui se refuse à admettre, à Bruges et à Gand, les châtelains issus de la ministérialité. Avis contraire de M. Ganshof.
page 311 note 4. Grâce à l'augmentation démographique, très nette en Flandre au xieet xne siècles, les lignages seigneuriaux ne subissent aucune interruption du fait des Croisades. La participation des Saint-Pol, Aubigny, Béthune et Guines à la Première Croisade ne touche pas l'avenir de la lignée. On est moins bien renseigné, faute de textes, sur les Lens et les Arras. Les listes données par Roger (Noblesse de France aux Croisades, 1845) sont manifestement fausses. Les Croisades du xiie et XIIIe siècles, qui retiennent un important contingent de flamands, ne sont causes d'aucune extinction. La chevalerie de Flandre et d'Artois, présente du xe au xiiie siècles dans toutes les grandes aventures, se signale par ses exploits en Espagne, en Italie, en Orient et en Angleterre. Mais aucune de ces expéditions ne parvient à briser la chaîne des lignages. Exception faite des Aubigny, éteints en 1204.
page 312 note 1. R. H. F., t. XV, p. 180,183,195.
page 312 note 2. Fbuchère, Les Châtelains d'Arras…, p. 12-16. Cowpeh, F. A., More data on Gantier d'Arras. P. M. L. A., New York, mars 1949, t. LXIV.Google Scholar
page 312 note 3. Ainsi Daniel de Béthune qui se porte caution en 1223 pour Renaud de Lens de 150 livres empruntées à deux bourgeois de Béthune, Hellin le Bouteiller et Herbert ; et pour Eustache de Neuville de 400 livres empruntées à Mathieu Lanstier et Robert Wagon, bourgeois d'Arras (NORD, B 1009).
page 312 note 4. Baudouin IV, châtelain de Lens, promet de remettre, s'il en est requis, son château de Chocques à Blanche de Castille, en septembre 1234. Pas-de-Calais, A 6/11.
page 313 note 1. Voir mon article : « Les Pairies du château de Lens » (à paraître).
page 313 note 2. Sur quelques tournois, Adam, , « Catalogue des armoriaux français imprimés », Nouvelle Revue héraldique, 1947, t . I, p. 20 Google Scholar (précisant que le tournoi de Compiègne de 1238 date de 1270-1273) ; F. Michel, Histoire des Ducs de Normandie, p. 311 (tournoi de Ham, en 1278). Sur l'activité littéraire, Guesnon, « La Satire à Arras au xiiie siècle ; nouvelles recherches sur les trouvères artésiens », Moyen âge, 1902 ; Jeanroy, A. Et Guy, , Chansons et dits artésiens du XIIIe siècle. Citons Hugues,Google Scholar Jean et Baudouin VIII, châtelains d'Arras, Jean de Cysoing-Angres, Berthout de Bailleul et Jean de Neuville-Vitasse.
page 313 note 3. Très net chez les Saint-Omer, Arras et Neuville-Vitasse, que j'ai étudiés.
page 313 note 4. Illustration relative de Lens, Lille, Mortagne et Wavrin-Saint-Venant entre 1300 et 1350.
page 313 note 5. Marc Bloch, O. C,t. II, p. 60-63.
page 313 note 6. Perroy, « Les Crises du xive siècle », Annales, 1949.
page 313 note 7. Minorité de Guillaume VIII, ch. de Saint-Omer, mise à profit par ses six oncles. Minorité de Baudouin X, ch. d'Arras : son oncle Guillaume d'Arras se saisit d'Achiet et du flef de la Bergagne (v. FeuchÈRE, art. cit., n. 5).
page 313 note 8. Ainsi Mahaut d'Artois et le comte Eudes de Bourgogne, qui obligent les derniers châtelains d'Arras à vendre leur office (Feuchère, Les Châtelains d'Arras, p. 40-43, Pas-de- Calais A 76/2.
page 313 note 9. Les Anvin, Milly, Creton d'Estourmel, Arras-Bruay, Blety, Bergues-Cohem, baillis d'Artois au xivesiècle (voir une liste dans Richard, Inv. des Archives du Pas-de-Calais, série A, Introduction du tome II).
page 314 note 1. Pas-de-Calais, A 61.
page 314 note 2. Monstrelet (t. III, 112-121) donne 153 nobles originaires d'Artois, de Flandre et de Hainaut parmi les morts d'Azinconrt. C'est la plus effroyable hécatombe collective de la noblesse nordique.
page 314 note 3. Les Neuville, émigrés en Hollande au xviesiècle, installés négociants à Amsterdam. Les branches bourgeoises des Landas, Arras, qui se livrent au commerce à Lille et Cambrai. Citons les cadets des Olhain, paysans en Calaisis et fermiers près d'Aire ; le dernier des Créquy, mort dans l'indigence à l'hôpital de Montreuil avant 1870 ; une descendante des Sotomayor d'Espagne, morte vers 1910 à Lille dans une maison publique.
page 314 note 4. Les princes de Vaux-Longueval, et les ducs de Guines (Bonnières-Souastre), entre autres.
Noir Rodière, Les Manoirs du Boulonnais, 1911.
page 315 note 1. Quelques remarques : l'absence de renseignements pour les x6 et xi° siècles ne nous permet pas de mettre en évidence une augmentation démographique. Les textes citent rarement tous les enfants. Au XIIe siècle, le nombre moyen des enfants varie entre 5 et 8 ; mais il faut tenir compte des variations d'espèce. Dès 1250-1270, cette moyenne tombe à 3-5, pour descendre à 3-1 pour le début du xive. Remontée faible vers 1400, reprise générale après 1450, et souvent accroissement notable au xvie. Les lignées étudiées ne montrent pas cette augmentation au xvi” siècle, parce qu'il s'agit de familles anciennes à bout de souffle. La seconde noblesse, par contre, s'étale largement alors en de multiples branches cadettes. Si on passait en revue, non pas les Créquy directs, mais les huit ou dix branches qui essaiment dès 1350-1400, on retrouverait souvent 6-8 enfants par degré.
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