Hostname: page-component-8448b6f56d-t5pn6 Total loading time: 0 Render date: 2024-04-18T12:29:49.411Z Has data issue: false hasContentIssue false

La Genèse du Système Capitaliste : La Pratique des Affaires et Leur Mentalité dans l'Espagne du XVIe Siècle

Published online by Cambridge University Press:  30 October 2017

Get access

Extract

Le meilleur ouvrage que nous possédions sur l'histoire économique de l'Espagne au XVIe siècle, demeure, dans son ensemble, celui de Konrad Haebler ; quant à celui de Mr M. Bonn, il a, renversant les termes classiques du problème, montré l'influence des conditions économiques sur les conditions monétaires d'une façon qui touche au paradoxe ; au cours des dernières années, l'on n'a guère étudié que les arrivées en Europe d'or et d'argent d'Amérique, ce qui a permis de rectifier des erreurs de Soetbeer et de W. Lexis, non de faire jusqu'ici ressortir plus clairement et exactement les conséquences de ces afflux. Le rôle du capitalisme n'a été exposé que du point de vue des emprunts impériaux. Ainsi ont fait Richard Ehrenberg et Konrad Haebler, grâce principalement aux papiers des Fugger. Le problème mérite, cependant, d'être examiné sous sa forme générale.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1936

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

page 334 Note 1. Die wirtschajtliche Blüte Spaniens im 16. Jahrhundert und ihr Verfall, Leipzig, 1888 (Historische Untersuchung, cah. 9).

page 334 Note 2. Spaniens Niedergang, Stuttgart, 1896 (Munchener Volkswirtschaftliche Studien, cah. 12).

page 334 Note 3. Clarbnce H. Haring, American gold and silver production in the first half of the sixteenth century dans Quarterly journal of économies, mai 1915, et Earl J. Hamilton, American treasure and the priée spéculation in Spain, Cambridge (E. U.), 1934.

page 334 Note 4. Zeitalter der Fugger, Iéna, 1896.

page 334 Note 5. Die Geschichte der Fugger'schen Handlung in Spanien, Weimar, 1897 (Socialgeschichtliche Forschungen, Erg. heft. 1), et l'article du même auteur, Die Finanzdecrete Philipp's II und die Fugger (Deutsche Zeitschrijt für Geschichtsivissenschaft, t. XI, p. 894).

page 334 Note 6. Les méthodes commerciales de Barcelone au XIIIe siècle : Résumé dans Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1932 ; texte avec annexes dans les Estudis Universitaris Catalans de Barcelone (1932, t. XVI) ; — Les méthodes commerciales de Barcelone au XIVe siècle, ibid. 1933, t. XVIII) ; — Les méthodes commerciales de Barcelone au XVe siècle dans Revue historique du droit, 1936.

page 335 Note 1. Voir nos articles sur Les compagnies hollandaises des Indes dans Revue d'économie politique, 1902 ; — La Bourse d'Amsterdam au XVIIe siècle dans Revue de Paris, 1er avril 1900 ; — La spéculation sur les fanons et l'huile de baleine à Amsterdam au XVIIe siècle dans Travaux et comptes rendus de l'Académie des Sciences morales et politiques, 1900, et Les ententes de producteurs et de commerçants en Hollande au XVIIe siècle (ibid., 1901).

page 335 Note 2. Voici, dans l'ordre de leur publication, les ouvrages de cette nature que nous avons consultés et que nous citerons par le seul nom de leur auteur (une collection presque complète n'en existe qu'àla Bibliothèque du British Muséum) : Luis de Alcala, Tratado… de los prestamos (Tolède, 1543) ; de Villalon, Christoval, Provechoso Tralado de cambios y contractaciones de mercaderes (Valladolid, 1546)Google Scholar ; de la Calle, Saravia, Instruction de mercaderes (Médina del Campo, 1547)Google Scholar ; Soto, Dominicus, De Justifia et jure (Salamanque, 1553)Google Scholar ; de Azpilcueta Navarro, Martin, Comentario resolutorio de usuras (Salamanque, 1556)Google Scholar ; de Mercado, Thomas, Tratos y contratos de mercaderes (Séville, 1569) et 2e éd., Summa de tratos y contratos (Séville, 1571)Google Scholar; de Albornoz, Bartolome, Arte de los contractos (Valence, 1573) [manque à Londres, se trouve à la Bibliothèque Nationale de Madrid]Google Scholar ; Garcia, Francesco, Del tratado utilissimo y muy gênerai de todos los contractos (Valence, 1583)Google Scholar ; Lopez, Ludovico, Instructorium negotiantium (Salamanque, 1589)Google Scholar ; Molina, L., De justitia, t. II (Cuenca, 1597)Google Scholar ; E. Micbaele Salon, Scholastici commentarii in disputationem de justitia (Valence, 1598). — Bien que du début du XVIIe siècle, on peut aussi consulter le livre de Juan de Hevia Bolanos, Laberintho de comercio terrestre y naval (Madrid, 1619).

page 335 Note 3. Plus particulièrement sur les étrangers et les banques. — Le Catalogo de los Fondas americanos del Archiva de protocolos de Sevilla, sans date, Madrid-Barcelone (publication restée en suspens par suite de la faillite de l'éditeur), peut être utilisé.

page 335 Note 4. La distinction que nous avons établie dans l'ordre économique pour l'Italie du moyen âge entre les villes à l'intérieur des terres et les villes maritimes (voir notre article, Dans l'Italie, à l'intérieur des terres : Sienne de 1221 à 1229 dans Annales, t. III, 1931, p. 189 et suiv.) est tout aussi exacte pour l'Espagne. Comparer, par exemple, les nombreux contrats de commandes reproduits dans nos articles sur Barcelone et la formule de contrat de compagnie établie à Avila et datant de la fin du XIVe siècle, ou du début du XVe (Anuario de historia del derecho espanol, t. III, 1926, p. 485).

page 336 Note 1. Voir notre note, Un contrat ie société à Barcelone en 1336 dans Annales, t. VI, 1934, p. 133.

page 337 Note 1. Voir l'article de Père Pujol I Turbau, Antoni Janer i Cata, mercader, a la Seu d'Urgell, a finals del XVIn segle dans Estudis universitaris catalans, 1933.

page 337 Note 2. Dès 1512, Francesco Guicciardini écrivait, sur Barcelone, dans son Diario del çiaggio in Spagna (éd. P. Guicciardini, Florence, 1932, p. 51) que «le commerce n'y florissait plus comme par le passé ».

page 337 Note 3. Examen e ilustration del reinado de Isabella la Catolica ﹛Memorias de la Real Academia de la Historia, Madrid, 1924, t. VI).

page 338 Note 1. Voir notre article, Les débuts du commerce de l'Espagne avec l'Amérique dans Revue historique, t. 174, 1934, surtout dans le tirage à part où des textes inédits sont reproduits en annexes.

page 338 Note 2. Ouvrage cité ci-dessus, (p. 335, n. 2) première partie, p. 16 et passim. Pour les références, cf. Konrad Haebler, Die wirtschaftliche Blute et sa copieuse bibliographie ; voir aussi L. Meder, Handel Buch (Nuremberg, 1562, mais se rapportant à une époque antérieure), p. XXIV et suiv.

page 339 Note 1. Voir notre mémoire sur Le rôle des Génois dans les premiers mouvements réguliers d'affaires entre l'Espagne et l'Amérique (Compte rendu de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1932, et Boletin de la Real Sociedad geografica, de Madrid 1932 série B, n° 12).

page 339 Note 2. Meder, Handbuch…, p. XXIII, et A. Gallego Burin, La Capella real de Granada (Grenade, 1931), p. 240.

page 339 Note 3. Recherches dans les Archives municipales.

page 340 Note 1. Voir le répertoire du Catalogo.

page 340 Note 2. Underhill, John Garrett, Spanish littérature in the England of the Tudors (New York, 1899), p. 152.Google Scholar L'auteur y mentionne le livre de John Browne (commerçant de Bristol), Merchants Aviso (Londres, 1589), qui donne des conseils commerciaux aux Anglais traitant en Espagne ; mais le British Muséum ne le possède pas.

page 340 Note 3. Le Catalogo indique un Nuremberger et un Ortiz.

page 340 Note 4. Catalogo, t. I, n° 1 574.

page 340 Note 5. Voir notre note sur La « Table des Changes » de Valence dans Annales, t. VI, 1934, p. 133.

page 340 Note 6. Barcelone au XVe siècle, ch. Ier.

page 340 Note 7. Antonio Gallego Burin, ouv. cité, p. 240.

page 340 Note 8. Fernandes de Oviedo, Quincuagenas II, est. 9 (cités par CLÉMencin, ouv. cité, p. 264).

page 340 Note 9. Andréa Navagero en a parlé dans son récit de voyage en Espagne durant 1523 (voir A. M. Fabié, Viajes de Espana, Madrid, 1879, p. 266) ; pour une période postérieure, Alonzo Morgado, Historia de Sevilla (Séville, 1587), p. 57, et Pedro de MÉDina, Primera y segunda parte de las grandezas y cosas notables de Espana (Alcala de Henares, éd. revisée par Diego Perez de Messa, 1595), p. 129. — Parmi les livres espagnols du XVIe siècle sur le commerce, voir Bartoiomeo de Albornoz, p. 133 et Francesco Garcia, p. 335.

page 341 Note 1. José Villa-amil V Castro, Brève reseña historico-descriptiva del Archivo gênerai de Indias (Séville, 1884), p. 11-12.

page 341 Note 2. José Torre Revello, El Archivo gênerai de Indias de Sevilla, Buenos Aires, 1929 (Publicaciones del Instituto de Investigaciones historicas de la Universidad national de Buenos Aires, N° 1.)

page 341 Note 3. L'histoire des foires de Castille est encore à écrire, mais l'on trouve beaucoup de renseignements dans le livre de Cristobal Espejo I Julian Paz, Las antiguas jerias de Médina del Campo (Valladolid, 1912). La Coleccion de documentas ineditos para la Historia de Espana contient un texte de haut intérêt, mais des premières années du XVIIe siècle (t. XVII, Madrid, 1850, p. 541 et suiv.). On peut encore utiliser le chapitre spécial du vieil ouvrage de Colmeiro, Historia de la economia politica en Espana (Madrid, 1863), t. II, p. 297 et suiv.

page 341 Note 4. Voir notre article, Les banquiers italiens en Italie et aux joires de Champagne au XIIIe siècle dans Revue historique, 1932, t. 170.

page 342 Note 1. Christoval de Villalon, p. 38, v°.

page 342 Note 2. Tous les écrivains espagnols du XVIe siècle sur le commerce ont traité le sujet ; voir, plus particulièrement, Saravia de la Calle, p. LXIII ; Albornoz, p. 81 ; Lopez, p. 146 ; L. Molina, t. II, p. 637 et suiv., et Salon, t. II, p. 944 et suiv. Il est particulièrement curieux que les écrivains qui ont traité de l'histoire du trafic de la laine en Espagne et de la « mesta » aient laissé ce point à peu près complètement sous silence, tel Julius Klein, The mesta (Cambridge, 1920), p. 41.

page 342 Note 3. Une question délicate se posait : comment fixer la qualité ou les qualités livrables lors de contrats passés sur des produits que l'on ne pouvait pas présenter ni identifier. Un livre de droit de 1543, contenant des résumés en formes de contrats, emploie, pour préciser ce point, la formule « buena lana fina merina deshaldada et deserbada, sin rosia ni cadillo ». A un moment du xvie siècle que nous ne pouvons pas déterminer, l'on distinguait trois qualités : «meilleure», «moyenne», «infime” (cf. Hernahdo Diaï de Valdepeñas, Summa de notas copiosas, Tolède, 1543, p. xix). On le faisait assez nettement pour fixer le prix de chacune de ces qualités avec un écart normal entre elles (Molina, t. II, p. 638 et suiv.).

page 343 Note 1. Salon, t. II, p. 948.

page 343 Note 2. Ibid., t. II, p. 946.

page 343 Note 3. Molina, t. II, p. 640.

page 343 Note 4. Saravia de la Calle, p. XXXIX v°.

page 343 Note 5. Pour comprendre ce passage, lire notre article, La liquidation des marchés à terme sur marchandises en Hollande aux XVIIe et XVIIIe siècles dans Nouvelle revue d'histoire du droit, 1901, p. 767 et suiv.

page 343 Note 6. Recueil cité, p. XX.

page 344 Note 1. Salon, p. 981.

page 344 Note 2. La liquidation avait-elle Heu dès le contrat dont les avantages étaient transférés, ou à l'échéance fixée ? On ne sait au juste.

page 344 Note 3. Saravia de la Calle, p. 35.

page 344 Note 4. Séville, Archivo de Protoeolos.

page 344 Note 5. P. XVI v°.

page 344 Note 6. Saravia de la Calle, p. 88 et Espejo Y Paz, ouv. cité, p. 78.

page 344 Note 7. Coleccion de documentes ineditos para la historia de España, t. XVII, p. 550.

page 345 Note 1. Voir ce mot dans le répertoire de Hugo de Celso, Las leyes de todos los Beynos de Castilla (Valladolid, 15ï8), p. 11. — Cf. Luis Vallk de la Cerda, Desempeno del patrimonio de Su Magestad (Madrid, 1600), IIe partie, p. 36 : « hizo balanzo ».

page 345 Note 2. Sara VIA de la Calle, p. 95.

page 345 Note 3. Coleccion, t. XVII, p. 549 et suiv.

page 345 Note 4. Christoval de Villalon, p. XVIII.

page 345 Note 5. Alonso de Azevedo, Repertorio de todas las pragmaticas y capitolos de Cortes, Salamanca, 1566, p. 40. — FR. Garcia, p. 405-406 ; des « senores, caballeros, oondes, duques, principes y otros » fournissaient des capitaux'’ de la feria de mayo a la de octobre ».

page 346 Note 1. Mercado, part. I, p. 94, ch. De los tractas de Indias y tratantes en ellos.

page 347 Note 1. Voir notre article, Les changes de VEspagne sur l'Amérique du XVIe siècle dans Revue d'économie politique, novembre-décembre 1927.

page 347 Note 2. Catalogo…, t. I et II. — En 1549-1550, les 14 assureurs d'un chargement à destination de Nombre de Dios étaient tous espagnols (ibid., t. I, n° 1 659).

page 347 Note 3. En 1572, un évêque du Mexique transmettait des capitaux en Europe en y envoyant du cuir et du sucre, et il faisait déposer le produit de la vente de ceux-ci à son compte à la Banque de Pedro Morga (ibid., n° 1 729). Ce n'était déjà pas si mal 1

page 347 Note 4. Voir notre article, Observations d'écrivains du XVIe siècle sur les changes et notamment sur l'influence de la disparité des pouvoirs d'achats des monnaies dans Revue économique internationale, novembre 1928.

page 347 Note 5. D'une façon générale, consulter notre article, Partnership in the trade between Spain and America…. in the sixteenth century dans Journal of économie and business history, vol. I, N° 2, février 1929.

page 347 Note 6. Catalogo… del Archivio de Protoeolos, t. I, p. 445.

page 348 Note 1. Luis Valle de la Cerda a parlé, en 1600, de « todo genre de bienes, ansi acciones, cartas de censo, policas procedidas de Erarios…» (Desemperio, p. 115 de la seconde partie dite Sumario de los oposiciones). Acciones avait-il un sens très général ? Cela n'est pas vraisemblable. Signifiait-il parts dans une compagnie ? et le mot aurait-il été employé d'abord en Espagne ?

page 348 Note 2. Coleccion de documentas, t. XVII, p. 554.

page 348 Note 3. Nous avons publié des contrats de cette nature en appendice à notre article sur Le début du commerce de l'Espagne avec l'Amérique, et dans le Giornale storico e letterario délia Liguria, 1932, fasc. IV.

page 348 Note 4. Mercado, partie 2, p. 52 et suiv.

page 348 Note 5. Catalogo… del Archivo de Protocolos, t. I, N° 1 675 et 1 676.

page 349 Note 1. Tous les ouvrages espagnols de la seconde partie du XVIe siècle partent de cette distinction.

page 349 Note 2. Papeles importantes, Siglo XVI, t. I : N° 71, plaintes contre les abus ; N° 72, protestations des banquiers contre la nouvelle réglementation et observations, à ce propos, d'autres personnes (1554) ; N° 73, nouvelles plaintes contre les abus (1562) ; N° 74, exposé du dommage résultant de la situation où s'était trouvée 1’ « unique » banque de Séville, les héritiers et successeurs de Pedro de la Torre Espinosa et Cle (1598). Escribanio de Cabildo A. B. 3, N° 35, garanties à demander aux banquiers (1581).

page 349 Note 3. Nous avons trouvé la preuve de l'exactitude de ces faits dans deux contrats de vente de 1530 conservés aux Archives des notaires de Séville (Oficio 5, Francisco de Castellanos, 1530, libro 5°, fol.'158 v° et 185 v°).

page 349 Note 4. Recop. de leyes, III, 5. 9,

page 349 Note 5. W. B. Turnbull, Calendar of State papers, foreign série (1553-1558), Londres, 1860, p. 140.

page 349 Note 6. L. Molina, t. II, p. 1 022.

page 350 Note 1. J. W. Burgon, The life and times of sir Thomas Gresham (Londres, 1839, t. I, p. 155).

page 350 Note 2. J. Richard Ehrenberg, Zeitalter der Fugger, t. II, p. 212.

page 350 Note 3. Tant par an ; plus généralement une commission. Saravia de la Calle nous apprend (p. 95) qu'en 1542 la commission atteignait 25 ou même 30 p. 1 000.

page 350 Note 4. Saravia de la Calle, p. 97.

page 350 Note 5. Texte d'une lettre de change de 1592 (Salon, p. 1 623).

page 350 Note 6. L. Molina, p. 1 024.

page 351 Note 1. Saravia de la Calle, p. 101.

page 351 Note 2. En règle, entre 3 et 7 p. 1 000 (Espejo Y Paz, ouv. cit., p. 78).

page 351 Note 3. Ibarra Y Rodrigues, ouv. cité, p. 85.

page 351 Note 4. R. Ehrenberg, Zeitalter der Fugger, t. II, p. 200, et Haebler, Die Finanzdecrete Philipps II.

page 351 Note 5. Rapport de Giovanni Soranzo, ambassadeur de Venise en Espagne de 1561 à 1564 (Alberi, Le relazioni degli ambasciatori çeneti, sér. I, vol. V, p. 102).

page 352 Note 1. R. Barcia, Primer diccionario gênerai etimologico de la langua español (Madrid, 1880), au mot asiento.

page 352 Note 2. En 1582, Augustin Spinola devait gagner 100 000 ducats dans un asiento de 800 000 (British Muséum, Manuscrits Add. 28 368, p. 222).

page 352 Note 3. Francisco de Alcoçer, Tratado del juego, Salamanque, 1569.

page 352 Note 4. Francesco Garcia, p. 559.

page 352 Note 5. Christoval de Villalon (p. XXIV) donne comme exemple le pari que l'on fait « à combien se trouvera la monnaie de Castille à terme à partir des paiements de la foire ».

page 352 Note 6. Albornoz, p. 69 ; — Soto, p. 548 ; — L. Lopez, p. 152 ; — Luys de Alcala, p. 5 ; — Salon, p. 1 684, etc.

page 352 Note 7. Saravia de la Calle, p. 28.

page 352 Note 8. Die Geschichte der Fuggerschen Handlung in Spanien, p. 138.

page 353 Note 1. Soto, p. 595.

page 353 Note 2. Espejo Y Paz, ouv. cité, p. 254.

page 353 Note 3. Voir les récits, par Ehrenberg et Haebler, de la fameuse « banqueroute de l'État » de 1575.

page 353 Note 4. Avec raison, Mr M. Bonn a remarqué (ouv. cité. p. 108) que, par suite de leur médiocre activité, la production n'augmenta pas en Espagne dans la mesure des besoins.