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Statistiques economiques courantes
Published online by Cambridge University Press: 02 June 2021
Abstract
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- Other
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- Recherches Économiques de Louvain/ Louvain Economic Review , Volume 25 , Issue 5 , July 1959 , pp. 451 - 470
- Copyright
- Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1959
References
Références
Les donnees statistiques non definitives sont imprimees en caracteres italiques.
Google Scholar
1. a à d: D’après Bull, de Statistique; le taux de reproduction est le nombre de naissances pour mille femmes âgées de 15 à moins de 45 ans.Google Scholar
1. e : D’après le Bull, de Statistique.Google Scholar
1. f à i: D’après la Revue du Travail, sept. 1951, p. 896, Un budget de main-d’œuvre belge. L’ensemble de la population au travail comprend tous ceux qui à titre de patron, d’aidant, d’appointé, de salarié, ou d’indépendant exercent une profession lucrative tant dans une entreprise privée que dans nu service public ou d’intérêt général. Cet ensemble comprend également les militaires et miliciens. Les appointés et salariés comprennent les personnes liées par un contrat d’emploi dans les entreprises et services tant privés que publics. Les effectifs de l’industrie comprennent les appointés et salariés des industries extractives, manufacturières, et de la construction.Google Scholar
1. j à m : D’après les calculs et estimations de M. F. Baudhuin, publiés annuellement dans le Bull. I. R. E. S. Les données se rapportent au revenu national net évalué au coût des facteurs (ensemble des revenus tirés de la production des biens et des services, y compris ceux provenant de l’étranger).Google Scholar
1. n : Revenus de l’Etat : Ensemble des recettes à l’exception de celles provenant des emprunts; comptes par exercice.Google Scholar
1. o : Ensemble des dépenses inscrites au budget ordinaire, à celui résultant de la guerre et au budget extraordinaire. Les données relatives aux trois dernières années sont provisoires.Celles de la dernière année est évaluée d'après les comptes de l'exercice inachevéGoogle Scholar
1. p et q : D’après le Bull, de Statistique : Les prairies et pâtures comprennent l’ensemble des prairies permanentes et temporaires, pâturées et fauchées. Les vergers pâturés y sont aussi inclus. A partir de 1952, le recensement ne tenant plus compte des exploitations de moins de 1 ha, les données pour l’ensemble de l’agriculture ont été établies par extrapolation et ne sont donc qu’approximativesGoogle Scholar
col. 1 : Indices calculés par I’IRES : moyenne simple de 6 indices de prix de métaux et de 11 indices de prix de produits d’origine agricole relevés sur les marchés les plus sensibles du monde et exprimés en dollars. Base, 1953 = 100. Pour l’interprétation cfr Bull. n° 6, 3 sept. 1953, p. 553.Google Scholar
col. 2 à 24 : Nouvel indice calculé par 1’I. R. E. S. sur des prix relevés entre le 1ez et le 10 du mois. La méthode d’établissement et la composition sont décrites dans le bulletin de juin 1956, p. 423 et suivantes.Google Scholar
col. 25 et 26 : Source : Service de l’index du Ministère des affaires économiques.Google Scholar
col. 27 et 28 : Indice du coût de la vie calculé pour des familles d’ouvriers à salaire plein et d’employés, selon les enquêtes réalisées entre 1948 et 1953. La méthode d’établissement et la composition sont exposées dans le bulletin de juin 1956, p. 427 et suivantes.Google Scholar
col. 29 à 34:Le salaire-coût est établi en ajoutant les charges sociales légales incombant à l’employeur (sécurité sociale et assurances) aux gains horaires des
ouvriers qui comprennent déjà les rétributions de certaines heures non prestées mais obligatoirement payées. Le salaire social se calcule en ajoutant les avantages pécuniaires alloues par la sécurité sociale à un salaire mensuel théorique
net, c. a. d. gain horaire multiplid par le nombre moyen normal d'heures de travail d'un mois et diminué des charges sociales retenues. Les charges fiscales ne sont pas soustraites..Google Scholar
col. 35 à 40 : Calculés à l’ R. E. S. d’après le Bull. B. N. B. jusqu’en 1946, d’après le Bull, de Statistique à partir de 1947; cours au 1er du mois jusqu'en 1957, du 10 du mois à patir de 1958. La composition groupes est donnée dans « Eléments du diagnostic ».Google Scholar
col. 41 à 44 : Calculés par l'I. R. E. S. Les taux de capitalisation des certificats de trésorerie sont calculés le 15 du mois sur les émissions à remboursement de 2 à 8 ans après le mois considéré et en tenant compte des primes de remboursement. Les autres taux ne tiennent pas compte du cours de remboursement.Google Scholar
col. 45 : Source : B. N. B.Google Scholar
col. 46 : Etabli par l'I. R. E. S. en fin de mois et comprend : les billets de la B. N. B., la monnaie divisionnaire et d’appoint, les comptes courants libres à la B. N. B., les dépôts libres à 30 jours au plus dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des comptables de l’Etat aux chèques postaux. De ce total sont soustraits : les avoirs de la B. N. B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en compte courant à la B. N. B. et aux chèques postaux des banques privées.Google Scholar
col. 47 et 48 : Etabli par l'I. R. E. S.Google Scholar
col. 49 à 55 : D’après la B. N. B., dernière situation du mois.Google Scholar
col. 56 : Etabli par l'I. R. E. S. Représente les avoirs nets de la B. N. B. pouvant servir aux paiements à l’étranger.Google Scholar
col. 57 à 61 : D’après le Moniteur belge. On entend par « Trésorerie » le poste de l’actif : Encaisse, avoirs en compte à la B. N. B. et chèques postaux.Google Scholar
col. 62 : D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar
col. 63 : Source : B. N. B. Etabli sur un échantillonnage représentant environ 80% du total des dépôts à vue, voir Bull. Β. Ν. Β., XXVme année, Vol. II, N°4, p. 222.Google Scholar
col. 64 à 66 : Source : Office des chèques postaux.Google Scholar
col. 67 : Calculé par l'I. R. E. S. Rapport de l'ensemble du débit par 25 jours aux avoirs Iibres globaux en fin de mois.Google Scholar
col. 68 à 73 : D’après le Bull. B. N. B. et le Bull, de Statistique.Google Scholar
col. 74 à 78 : Etablis par l'I. R. E. S. Moyenne journalière des cotations à Bruxelles exprimée en % de la parité officielle.Google Scholar
col. 79 à 82 : D’après le Moniteur belge.Google Scholar
col. 83 à 89 : D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar
col. 90 à 97 : Données brutes communiquées par l’Office national du Placement et du Chômage. La méthode de calcul des variations saisonnières est décrite dans le Bulletin de juin 1956, p. 435. L'elimination des variations saisonnières
des chômeurs partiels esr réalisée par une méthode mieux adaptée depuis cette livraison.Google Scholar
col. 98 : Calculé de l'I. R. E. S. Comprend les ouvriers occupes dans les industries soumises a l'obligation d'un recensement mensuel. Les branches d'industries fortement concentrées (entre autres les charbonnages et la sidérurgie) sont représentées dans leur entièreté. Par contre d'autres branches ne sont représentées que par les entreprises comptant 5 ouvriers et plus ou 10 ouvriers et plus. En fin de compte sur un total de 1.308 mille ouvriers assurés à I'O. N. S. S. en 1953 972 mille sont recensàs dans les indices. Voir le Bulletin de juin 1956, p. 435.Google Scholar
col. 99 et 100 : Degré d’emploi: Calculé par l'I. R. E. S. La différence entre l’ensemble des journées de travail possibles (effectifs ouvriers x nombre de jours ouvrables du mois) et l’ensemble des journées de chômage représente le nombre de jours d’occupation effective. En soustrayant des mêmes journées de travail possibles, les journées de chômage des chômeurs complets seuls, on obtient le nombre de journées de ceux qui sont occupés complètement ou partiellement c’est-à-dire le degré d’emploi, complet et partiel. Chaque élément du calcul est exprimé en % du nombre de journées de travail possibles.Google Scholar
col. 101 : Calculé par ΓΙ. R. E. S. Les emplois offerts par les industriels au cours du mois sont rapportés à la médiane élargie (2 ou 3 termes) des emplois offerts pendant le même mois au cours des années 1948–1954. L’indice des offres d’emploi est donc établi selon la formule :Google Scholar
col. 102 : Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 103 : Indice AGEFI de l’activité industrielle. Calculé par mois d’égale longueur.Google Scholar
col. 104 à 130: Indices de la production industrielle en Belgique calculés par ΓΙ. R. E. S. et décrits dans le Bulletin de juin 1956, p. 432.Google Scholar
col. 104 à 130:En résumé les indices sont des moyennes pondérées par la valeur ajoutée des indices de productions de toutes les branches industrielles pour lesquelles il est possible d’obtenir des renseignements mensuels (ou exceptionnellement trimestriels).Google Scholar
col. 131 à 134 : D’après la Direction générale des Mines. La consommation de charbon est obtenue en faisant la somme algébrique de la production, des importations nettes, et de la différence des stocks entre la fin et le début du mois.Google Scholar
col. 135 et 135 : D’après la C.E.C.A.Google Scholar
col. 135 et 135 : D’après ΓΙ. N.SGoogle Scholar
col. 136 : D’après ΓΙ. N. S. De 1946 à 1952 : somme des autorisations de bâtir demandées des constructions nouvelles et de la moiti du nombre des reconstructions et transformations. A partir de 1953 : autorisations de bâtir accordées pour toutes constructions, exceptées les transformations ne modifiant pas le volume de construction.Google Scholar
col. 137 à 142 : Les indices de transport et de manutentions sont calculés par mois d’égale longueur et pondérés par la valeur ajoutée de chaque branche de transport. Les indices ont pour base 1936-38 = 100 et les valeurs ajoutées sont celles des mêmes année.Google Scholar
col. 141 : Source : S. N. C. F. B.Google Scholar
col. 143 : Source : Administration du Port d’Anvers.Google Scholar
col. 144 : Calculé par ΓΙ. R. E. S. en divisant le montant des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses taxes. Les données publiées les indices 1953 = 100 par mois d’egale longueur.Google Scholar
col. 145 : Moyenne des indices de ventes dans les grands magasins, magasins à succursales et coopératives calculés par ΓΙ. N. S. et la B. N. B. et ramenés à la base 1953 = 100. La variation saisonnière est éliminée. Voir le Bulletin de juin 1956, p. 437.Google Scholar
col. 146 à 148 : D’après le Bulletin mensuel du Commerce extérieur de l'Union économique belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
col. 149 à 166 :
Indices du volume du commerce extérieur de l’I. R. E. S.
Google Scholar
Ces indices sont calculés en utilisant les rubriques des classifications résumées établies par ΓΙ. N. S. et complémentairement quelques rubriques du développement. Jusque fin 1953, la classification utilisée était celle de la » Convention de Bruxelles de décembre 1913 ». A partir de 1954, on utilise la «Classification type pour le Commerce international » recommandée par ΓΟ. N. U. (C. T. C. I.). Il n’y a de continuité raisonnable que pour l’ensemble et les produits alimentaires. Les indices établis selon les deux classifications ne sont pas comparables pour les autres groupes comme on le constatera par les données de 1952 à 1953 publiées.Google Scholar
La méthode de calcul de l’indice de volume est celle de l’indice budgétaire selon la formule de Laspeyres. Les indices de volumes sont donc des indices de valeurs à prix constants.Google Scholar
Les indices de valeurs unitaires moyennes ou prix se déduisent des volumes en divisant les valeurs globales effectives par les valeurs à prix constants par la formule de Paasche.Google Scholar
col. 167: Rapport des col. 163 à 158.Google Scholar
col. 168 : D’après le Bulletin statistique de ΓΟ. E. C. E.Google Scholar
col. 169 : D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar