Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
Genetic analyses were carried out to determine inheritance of resistance, heterotic effects and reciprocal effects for resistance to the spotted stem borer, Chilo partellus in three maize crosses. Resistance was found dominant over susceptibility. Highly significant heterosis was detected for percentage dead hearts. Both additive and nonadditive gene effects were important in the inheritance of resistance to C. partellus in all crosses. Additive gene effects were highly significant for all the three resistance parameters: leaf-feeding, dead hearts and stem tunnelling. However, a high magnitude of nonadditive (dominance and epistatic) gene effects were detected for dead hearts. No cytoplasmic effects were detected in reciprocal crosses between resistant and susceptible maize lines, suggesting that the resistance to C. partellus is conferred only by nuclear genes. Recurrent selection methods should be used to accumulate alleles for resistance. Resistant F1 hybrids could be developed between resistant and susceptible lines in reciprocal combinations.
Les études génetiques ont été conduites dans trois croisements de maïs pour déterminer l'acquisition héréditaire de la résistance, les effets hétérotiques et inverses de la résistance au boreur de tiges, Chilo partellus. La résistance s'est montrée dominante sur la sensibilité. Une dominance très hautement significative pour la casse de tiges a été observée parmi les descendants. Les effets des gènes additif et non additif ont été détérminantes dans l'acquisition de la résistance au C. partellus dans tous les croisements. Les effets de gène additif ont été hautement significatifs pour tous les trois paramètres de résistance: dégât de feuilles, casse et galeries de tiges. Cependant, une grande ampleur des effets de gène non additif (dominance et interallèle) a été observée pour la casse de tiges. Les effets cytoplasmiques n'ont pas été observés dans les croisements inverses, entre les lignées de maïs résistantes et sensibles. Ceci suggère que la résistance au C. partellus est conférée par les gènes nucléiques. Des méthodes de séléction appropriées doivent être utilisées pour accumuler les allèles de la résistance. Les hybrides F1 résistants peuvent être développés entre les lignées résistantes et sensibles dans des croisements inverses.