Certaines indications, fournies à la suite de mon article sur L'impôt foncier en France depuis la Révolution (Annales, 1938, p. 136-137), demeurent Valables. Pas d'ouvrage d'ensemble satisfaisant sur la question ; on ne peut considérer comme tel l'Histoire des impôts indirects, d'A. Rousset et H. Louiche (1883). Il serait excessif d'énumérer les travaux — beaucoup de thèses de droit, assez superficielles — qui, de près ou die loin, concernent les fermes générales et, d'une façon générale, les dlroits d'Ancien [Régime sur les produits de consommation. Il Importe donc de se reporter aux textes, c'est-a-dire aux écrits des économistes et des administrateurs (comme Ramel et Gaudin), aux discours et rapports des membres des assemblées représentatives. Les cadres, que fournissent R. Stourm (Les finances de l'Ancien Régime et de la Révolution, 1885) et Marion, M. (Histoire financière de la France depuis 1715, t. I à IV, 1919-21)Google Scholar, ont un caractère exclusivement législatif et budgétaire. Un commode répertoire de définitions est le Nouveau dictionnaire d'économie politique, publié en 1892 sous la direction de Léon Say et Joseph Chailley. — R S.