page 220 note 1. Paris, Les Belles-Lettres, 1952, in-8° 586 pages, Coll. Les Classiques de l'Humanisme, publiée sous le patronage de l'Association Guillaume Budé.

page 220 note 2. D'autant qu'on lit, p. 8 : « On devra donc essayer une définition de l'homme [Dante] qui porta ce nom, rappeler quel il fut et comment il sut vivre, dire la vigueur intellectuelle, la puissance créative, la passion lyrique du poète, eto. » — Qu'est-ce là, sinon informer ses lecteurs de la rie, de la personne et de l'oeuvre de Dante? — Petite chicane, où Augustin Renaudet ne trouvera que mon souci de voir son livre atteindre la plus grande audience possible.

page 221 note 1. «Et comme l'humanisme, à travers les deux premiers siècles de San histoire, n'a guère cessé d'être chrétien, écrit Renaudet p. 553, la question qui resterait à débattre eat celle des rapport

page 222 note 1. qu'il entretient avec l'humanisme de Dante.

page 222 note 2. Page 12. Cf. également un rapprochement avec Vico, p. 215. Un peu plus loin on lit (p. 227) : « Et Dante semble ainsi annoncer l'humanisme de Herder et de Mazzini. »

page 223 note 1. Faut-il l'avouer? Je suis un peu peiné de lire, p. 528, sous la plume de Renaudet, que c'est la thèse sur l'avarie des pontifes romains « de tous les rigoristes qui ont désiré le retour du clergé à l'esprit des origines : Vaudois, Wyclefites, Hussites — qui « aboutit à la protestation de Luther et des Réformateurs du xvie siècle ». — Et encore : « La publication de l'ouvrage de Valla [sur la donation de Constantin] précéda de quelques mois, en 1517, l'apparition de Luther » — Et puis après ? Quel lien entre l'opuscule de Valla et la méditation de Luther sur saint Paul ?

page 223 note 1. La Palmyrène du Nord-Ouest, suivi d'un Recueil des inscriptions sémitiques de cette région, par H. Ingholt et J. Starcky, avec une contribution de G. Rycimans, Paris, Geuthner, 1951 ; in-4”, 192 pages et Xviii planches photographiques.